Madeline Swegle entre dans l’histoire de la Navy en tant que pilote de chasse. En 110 ans d’existence, la Navy n’avait pas encore eu de femme noire pilote de chasse. Cette statistique embarrassante fait désormais partie du passé. Madeline Swegle est officiellement la première femme noire pilote au sein de la Marine américaine, rapporte 20minutes.
Aujourd’hui, c’est au tour de Madeline Swegle d’entrer dans l’Histoire. En effet, la lieutenante junior devient la première pilote de chasse noire de l’US Navy, la marine de guerre américaine. Elle a reçu ses ailes d’or lors d’une cérémonie officielle à la fin du mois de Juillet.
Madeline Swegle
Sortie de l’école de la marine en 2017, Madeline Swegle a suivi le programme d’entraînement des pilotes à la tactique aérienne qu’elle a terminé le 7 juillet dernier.
Le jeudi 9 juillet dernier, le centre d’entraînement des pilotes des forces navales américaines a tenu à féliciter la jeune femme sur les réseaux sociaux. Le chef de la Navy a annoncé sur Facebookque la jeune femme obtiendrait ses « ailes d’or ». Ce qui signifie la fin de sa période de formation, « avant la fin du mois de Juillet ».
« Bravo au lieutenant Madeline Swegle qui a terminé le programme d’aviateur tactique aérien. »
Swegle devient la première pilote TACAIR [Tactical Air Support ndlr] de l’US Navy et elle a reçu ses ailes d’or.
Madeline Swegle succède à Rosemary Mariner, première femme devenue pilote d’un jet tactique, en 1974. Ainsi qu’à Brenda Robinson, première Afro-Américaine diplômée de l’Aviation Officer Candidate School, à obtenir ses ailes d’or et à devenir instructrice de vol dans la Navy, dans les années 1980.
La poliomyélite est une maladie infectieuse aiguë et contagieuse. Elle est provoquée par le poliovirus sauvage (PVS). Elle touche principalement les enfants. Elle attaque la moelle épinière et peut provoquer une paralysie irréversible.
Elle était répandue partout dans le monde jusqu’à la découverte d’un vaccin dans les années 1950. Les pays les plus riches y ont eu rapidement accès. Mais, l’Afrique est longtemps resté un important foyer infectieux.
Vaccin contre la POLIO
La poliomyélite, a été le mardi 25 août officiellement déclaré éradiquée du continent Africain par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Après quatre années consécutives sans cas déclaré et des efforts importants de vaccination des enfants.
En effet, grâce des campagnes massives de vaccination le virus ne circule plus que dans deux pays. Il s’agit de l’Afghanistan et le Pakistan.
Selon l’OMS, le poliovirus sauvage plus connu sous le nom de polio a été éradiqué. Les membres de la commission de certification pour la région Afrique (l’ARCC), un organisme de certification de l’OMS déclarent que la transmission du poliovirus sauvage a été interrompue en Afrique. Lors de l’annonce officielle le directeur général de l’OMS était présent, ainsi que sa directrice régionale pour l’Afrique, Matshidiso Moeti.
Un vent d’espoir
En attendant, l’annonce de l’OMS fait souffler un vent d’espoir sur le continent africain. Le dernier cas de poliomyélite à virus sauvage a été détecté il y a quatre ans dans l’État de Borno (nord-est du Nigeria). La difficulté est de vacciner dans les enclaves les plus reculées du monde. La stratégie de lutte a évolué en 2014. L’OMS s’est focalisée sur les traces environnementales dans les eaux usées plutôt que de repérer l’existence du virus à partir des personnes malades.
Après 4 ans sans cas de polio déclaré, les populations n’ont plus à craindre ce virus. C’est un moment historique pour l’Afrique.
«A partir de maintenant les enfants qui naîtront sur ce continent n’auront pas à craindre d’être infectés par la polio», a déclaré la directrice Afrique de l’OMS, Matshidiso Moeti.
Face à cet agent pathogène l’Afrique a pu gagner le combat. Cela grâce aux efforts déployés par les gouvernements, le personnel soignant et les communautés. Ce qui représente une étape cruciale dans l’éradication mondiale de cette maladie. Car l’Afrique était considérée comme l’épicentre de cette maladie.
Tom Ford est devenu l’une des plus grandes icônes de la mode mondiale.Très présent dans ses défilés haute couture, il s’invite désormais dans un parfum. Tom Ford nous présente sa nouvelle création nommée Métallique. Une fragrance habillée d’un flacon d’or et d’argent.
Tom Ford Metallique
De ce passage chez les plus grands, il a conservé l’amour des belles matières associées à une certaine dose d’exubérance. Parmi ses textures favorites, le métal est indissociable de son univers.
MÉTALLIQUE, UN PARFUM À « L’ÉLÉGANCE ÉBLOUISSANTE »
Métallique est présenté comme une « robe brodée de métal ». Audacieux et léger, ce parfum s’envole d’emblée sur une sensation de fraîcheur aérienne et zestée. Les aldéhydes sont ici associés à de la bergamote. Elles dégagent une douce amertume très rafraîchissante et agréable au quotidien. Tom Ford y a aussi ajouté une touche de poivre rose, pour donner plus d’élan à son parfum.
Ainsi, dans un souffle de féminité et d’élégance, le cœur de Métallique devient plus floral.
Tom Ford Métallique
Il rassemble un trio d’aubépine, de muguet et d’héliotrope. L’aubépine préserve son côté épicé. Ainsi, il symbolise l’idée très charismatique que Tom Ford se fait des femmes en général.
Peu à peu, le parfum Métallique devient plus riche et boisé en sa base. Le tout s’achève par la sensualité de la graine d’ambrette enveloppée de baume du Pérou. Métallique de Tom Ford est un parfum au « fini addictif » encore enrobé d’une vanille douce et d’un bois de santal crémeux
LE MÉTAL OMNIPRÉSENT SUR LE FLACON DE TOM FORD
Tom Ford
Bien évidemment, il fallait à ce parfum un flacon à la hauteur de son nom. Pour sa bouteille, Tom Ford a opté pour un habillage de métal. Dans un style assez sobre et épuré, Métallique prend la forme d’une bouteille cylindrique, sur laquelle vient se poser un bouchon simple et dépourvu de détails superflus. Le plus gros cylindre de cet ensemble est recouvert d’argent. Quand au capuchon, il est parcouru d’une teinte dorée éblouissante, symbole de chic et de raffinement. Assortie à ce dernier, une plaque dorée s’appose sur sa face avant et nous révèle son nom avec sobriété. Métallique de Tom Ford est décliné dans deux versions différentes de 50 et 100 ml.
Ce parfum très original et audacieux joue dans plusieurs registres à la fois. Il se montre tour à tour floral ou gourmand. Pour autant, il ne tombe pas dans la surenchère de féminité et en deviendrait presque un parfum unisexe.
Une fois encore, Tom Ford a frappé un grand coup. Visionnaire dans l’âme, il a imaginé un parfum qui ne ressemble à aucun autre !
La gaine IRRIGASC est une invention de Jacques Gasc ingénieur agronome. Elle permet d’utiliser 10 fois moins d’eau qu’un arrosage traditionnel pour des arbres fruitiers tels que le manguier ou l’anacardier.
L’association IRRIGASC aide les familles qui habitent dans des zones très arides à planter des arbres fruitiers. Cela se fait en utilisant très peu d’eau et avec un accompagnement sur 3 ans.
Depuis le 06 Août 2020, Natacha Gasc et Alexandre GASC organisent cette collecte de fonds pour le développement agricole au Sénégal. Aidez-les à planter 1000 arbres au Sénégal !
Avec €10 vous financez la plantation d’un arbre. Voici le lien pour y participer :
IRRIGASC est une association à but non-lucratif de développement agricole.
Basé à Dakar, IRRIGASC opère dans les zones sub-sahéliennes où l’optimisation de l’eau est vitale, où la déforestation est prégnante et l’arboriculture fruitière en déclin.
Cela inclut l’arbre, le matériel d’irrigation, l’installation du matériel et la formation des familles bénéficiaires. En plus, un accompagnement technique pendant 3 ans !
Le Processus de la gaine
La gaine IRRIGASC conduit l’eau et les nutriments en profondeur, directement aux racines.
Elle permet de:
stimuler la croissance des racines ligneuses en apportant à la plante l’eau et les sels minéraux.
conduire les racines dans les couches profondes du sol où la température est constante
permet ainsi une croissance continue des racines, même pendant la mauvaise saison.
rendre les plantes plus résistantes, car les racines sont moins exposées aux facteurs défavorables dans les couches profondes du sol.
Ce système évite la perte par évaporation. Ainsi l’eau va directement aux racines. Les gaines sont produites dans l’atelier de IRRIGASC et coûtent 500FCFA/pièce. Elles sont à récupérer dans leur atelier. Si besoin Irrigasc peut également les faire livrer dans Dakar ou les faire expédier au Sénégal ou au Burkina Faso. Les frais supplémentaires sont à la charge du client.
Pour toutes vos commandes, Il est possible de le faire par téléphone au 338603269, dans l’atelier de Irrigasc à Sptrac Mermoz, ou en remplissant le formulaire sur Irrigasc.
L’allaitement maternel exclusif est le fait de nourrir uniquement le nourrisson au lait maternel dès sa naissance jusqu’à 6 mois.
L’allaitement maternel exclusif est un acte qui doit être fait par tout le monde, un acte qui doit être systématique pour l’alimentation du nourrisson et du jeune enfant. Parce que c’est le mode d’alimentation le mieux adapté par rapport à la situation de l’enfant.
L’allaitement maternel est le plus conseillé. Donner le sein, c’est sauver des vies. A la maternité de Bangrin (Burkina Faso), on conseille aux mères de ne nourrir leur bébé qu’avec leur propre lait pendant les six premiers mois et surtout pas d’eau.
Le lait maternel couvre tous les besoins dont l’enfant a besoin
Composé à 88 % d’eau, riche en lactose mais aussi en protéines, en graisses et sels minéraux, il contient tous les nutriments dont le bébé a besoin. « C’est la meilleure nourriture et boisson que l’on puisse lui offrir, c’est naturel, sûr et gratuit », explique une sage femme qui prône l’allaitement exclusif. Elle tâche d’expliquer à chacune de ses patientes, en langue moré et à l’aide d’images simplifiées, les bénéfices de la tétée. Et ils sont nombreux.
Comme de nombreuses mères qui accouchent dans ce centre de santé rural du Burkina Faso, la jeune maman a choisi l’allaitement maternel exclusif pour son premier enfant. « Pour que mon bébé soit fort et en bonne santé », explique timidement la femme de 25 ans. Préconisé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le « 100 % lait maternel et rien d’autre », de la naissance jusqu’aux 6 mois du nourrisson, permet de prévenir la malnutrition et les maladies diarrhéiques, principales causes de mortalité infantile en Afrique de l’Ouest.
« Le lait maternel comme Premier vaccin »
Le lait maternel couvre tous les besoins dont l’enfant a besoin justement pour assurer sa survie et pour le restant de son existence. C’est pourquoi, il est fondamentale que l’enfant soit mis au sein dans l’heure qui suit la naissance. Pour permettre de prendre le premier lait jaune qui a une odeur répugnante. Le colostrum, premier lait épais et jaunâtre secrété à l’accouchement, riche en anticorps. Mais en réalité, c’est sa nature même parce qu’il contient toute les vitamines que la maman a préparées pour son bébé. Il constitue le premier vaccin de l’enfant. Nous sommes dans un contexte où toutes les cultures sont toujours néfastes et cela engendre des résistances à la notion d’allaitement exclusif.
Ensuite, le lait maternel contribue au bon développement physique et cognitif de l’enfant, tout en le protégeant des infections respiratoires et des diarrhées.
Au Burkina, où le taux de mortalité infantile des moins de 5 ans est de 82 pour 1 000 naissances, près de 3 500 enfants pourraient chaque année être sauvés grâce à l’allaitement, estime une étude de l’initiative américaine Alive & Thrive.
L’allaitement est pratiqué par une grande partie des Burkinabées. Elles restent nombreuses en revanche à donner d’autres liquides que du lait maternel. Au Burkina, quatre nourrissons sur dix ingurgitent de l’eau ou d’autres boissons, selon le Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef).
Dans ce pays enclavé du Sahel où les températures avoisinent les 40 °C pendant la saison chaude, il peut sembler contre-intuitif à certains parents de ne pas donner à boire à leur nourrisson.
Enfin, l’allaitement accélère la récupération de la mère après la naissance. Il réduit les risques de cancer et permet d’espacer les naissances.
Fantasmée ou rêvée, l’Afrique habite nos imaginaires. Aller à sa rencontre, c’est tenter de saisir son histoire, ses cultures et ses identités, passées ou actuelles. Tenter… car, au fond, que connaissons-nous de ce vaste continent coupé en deux ? Le Sahara qui sépare le Maghreb arabe au nord de l’Afrique noire au sud ? Que savons-nous de son histoire d’avant l’esclavage et la traite atlantique ?
Et, aujourd’hui, ses cinquante-quatre Etats sont-ils vraiment condamnés aux catastrophes, à la guerre et à la malnutrition ; à subir le joug de dictatures indétrônables, comme le voudrait la petite musique dominante ? L’Afrique se traîne une réputation faussée, et depuis trop longtemps. Idées reçues à effacer, fantasmes modernes à déconstruire, il y avait urgence à rétablir quelques vérités.
Certes, faire entrer ce continent tout entier dans un atlas relève au pire d’une gageure, au mieux d’une prétention. Mais c’est une prétention assumée. Les rédactions de La Vie et du « Monde Afrique » se sont réunies avec la volonté de se départir des clichés pour rencontrer vraiment ce géant. Portée par une cartographie inédite, servie par les regards croisés de journalistes et d’experts internationaux, leur ambition première a été de prendre le temps de scruter la grande diversité des multiples Afriques.
De l’aube de l’humanité née sur ce continent jusqu’à nos jours, les pages de « l’Atlas des Afriques » se veulent un voyage dans l’espace et le temps. Une aventure qui raconte la fastueuse histoire des pharaons noirs de Nubie. Tout comme celle de l’antique royaume chrétien d’Aksoum, en Ethiopie. Un périple qui donne à admirer les anciennes cités de pierre du Zimbabwe, les mosquées en banco du Sahel médiéval. Jusqu’à arriver à cette jeunesse d’aujourd’hui, qui, forte du nombre (six Africains sur dix ont moins de 25 ans), commence à demander des comptes.
Paradoxe
Car si, au fil des pages, ressurgit tout un glorieux passé, avec ses civilisations et ses peuples, car si jaillit une nature prolifique en ressources, ce lit d’opulence n’a pour l’heure guère profité à des populations qui restent majoritairement démunies du nord au sud.
Impossible de décrypter ce paradoxe sans revenir sur l’esclavage, la traite et la colonisation ; épisodes tragiques et décisifs, bien que finalement très brefs au regard de l’histoire multiséculaire de ces terres.
Pour comprendre cette cicatrice, il a fallu se souvenir de la genèse du tracé des frontières modernes, revivre le grand moment des indépendances avec les penseurs de la négritude et du panafricanisme, les mouvements de libération des peuples. Revisiter le Liberia édifié par d’anciens esclaves noirs venus des Etats-Unis, raconter à nouveau les années de braise au Maghreb après la seconde guerre mondiale, et voir frémir ce vent de liberté qui a tôt soufflé sur le Ghana, pionnier des indépendances au sud du Sahara.
Ultime étape du voyage, il ne restait qu’à prendre le pouls du continent en cette aube du XXIe siècle. Sentir vibrer l’énergie de son entrée dans la dernière mondialisation et s’arrêter tour à tour sur les grands enjeux économiques, démocratiques, technologiques, urbains, migratoires et sociétaux d’une Afrique émergente qui retrouve peu à peu sa place dans le monde.
Un pari ambitieux que d’ausculter ce continent sous toutes les coutures, sans doute. Mais une nécessité absolue que cette découverte d’une Afrique démystifiée, vivante de peuples créatifs, avides de développement et de liberté. Bas les masques ! Et bonne lecture.
Le Rwanda innove son tourisme à travers un projet de visite virtuelle du pays. Kigali 360 est une entreprise qui crée des visites virtuelles de certains des sites les plus impressionnants du Rwanda.
En 2019, le tourisme a rapporté plus de 490 millions de dollars de revenus au Rwanda, selon le Rwanda Development Board.
Mais la pandémie lui a déjà coûté 45 millions de dollars cette année. Elle a diminué le nombre de touristes et après le report ou l’annulation de 45 réunions internationales prévues à Kingali.
Patrick Karangwa PDG de Kigali 360, a lancé le projet en 2018 avec un appareil photo et deux objectifs.
« J’ai réalisé que le Rwanda en tant que pays et en général aussi l’Afrique étaient sous-représentés sur Google Maps, sur les cartes numériques. C‘est de là que vient l’idée, j’ai réalisé que cette technologie nous pouvions le faire nous-mêmes et qu’elle était abordable ».
Aujourd’hui, son travail est devenu plus important que jamais.
La pandémie de coronavirus a freiné le tourisme dans le monde. Les frontières fermées et des vacanciers nerveux provoquant un énorme ralentissement des voyages internationaux.
Mais avec les visites virtuelles de Kigali 360, les gens peuvent toujours marcher dans les rues de Kigali. C’est juste que leur visite sera numérique plutôt que réelle.
Un prototype est même en cours de test. Un guide en direct pourra communiquer avec les invités lors de leur visite.
Peut-être que le tourisme numérique peut encore promouvoir le Rwanda comme une destination incontournable. En espérant que lorsque le virus se dissipe, les gens se sentent à nouveau en sécurité pour voyager.
« Les visites virtuelles, comme vous l’avez dit, nous avons beaucoup utilisé pendant cette période de verrouillage lorsque les gens ne voyageaient pas pour inciter les gens à revenir, à planifier leur retour et à rappeler aux gens ce qui se passe. » selon Jacqui Sebageni, directrice générale de Thousand Hills Africa.
Les gens affluent normalement vers le pays pour des activités comme la randonnée avec les gorilles. Le Rwanda repose sur le tourisme haut de gamme
À la suite du virus, le gouvernement a limité ces randonnées à huit personnes par groupe.
Mais la technologie VR a été utilisée pour fournir des visites en ligne d’observation des gorilles.
Les entreprises de haute technologie pourraient être un moyen de créer plus d’emplois.
Le gouvernement a injecté 50 millions de dollars dans des initiatives touristiques axées sur la technologie pour aider à la reprise post-COVID.
Patrick Karangwa est en négociations avec le Rwanda Development Board (RDB) pour étendre son projet. Il estime qu’il aura besoin d’un financement de 22 000 dollars pour couvrir tout le pays avec ses tournées numériques.
« Cela ne remplacera jamais le tourisme traditionnel. Car rien ne remplacera vraiment le fait que les gens peuvent être à des endroits,et voir les choses de leurs propres yeux. » admet Patrick Karangwa.
Mais plus les tournées VR créent de buzz, plus les gens visiteront le Rwanda et plus d’emplois pourraient être créés.
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CHAQUE BOX SERA UNE NOUVELLE DÉCOUVERTE DE BIEN ÊTRE
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Bio Oil est spécialisé dans la recherche et le développement de produits de soin de la peau.
Les Guinéens s’inspirent de plus en plus de la mode turque. Les programmes immobiliers sont ainsi en plein boom sur la presqu’île de Kaloum, en Guinée. Pour le résidentiel, une présence de plus en plus remarquée des promoteurs turcs.
Dans les quartiers périphériques comme en centre-ville de la capitale, en particulier à Kaloum, la commune qui accueille le quartier des affaires et des administrations, la mode est au style « à la turque ». Comme disent les Conakrykas pour qualifier les immeubles construits par des promoteurs et entreprises venues des rives du Bosphore.
Une architecture Turque en Guinée, La mosquée Bambeto
Façade plate, épurée et rectiligne, finitions soignées… « Les Guinéens n’étaient pas habitués à ce style architectural et beaucoup sont séduits par son côté sobre et haut de gamme », explique Aboubacar Diop. Ce Guinéen d’origine sénégalaise, est diplômé en biotechnologie de l’université d’Anadolu, en Turquie. Il est employé chez Turquoise Groupe SA, société de BTP turque installée à Conakry depuis 2014.
Pourtant, le phénomène est apparu il y a quelques années. « C’est un jeune entrepreneur turc, ingénieur en construction, qui, en 2010, a été le premier à réaliser un immeuble de ce type à Kaloum, explique Aboubacar Diop. Puis d’autres opérateurs turcs lui ont emboîté le pas. »
Le succès a été immédiat : leurs programmes n’ont même pas eu besoin de campagnes publicitaires pour être commercialisés, le bouche-à-oreille a suffit. Pour le moment, ces immeubles peuvent compter jusqu’à 12 étages. Ils trouvent acheteurs auprès d’une clientèle locale de particuliers aisés, séduits par le style des bâtiments et des appartements, ainsi que les prestations proposées. Les parkings en sous-sol, détail non négligeable à Kaloum, où les problèmes de stationnement sont particulièrement aigus.
Liaisons de Turkish Airlines
La tendance s’est confirmée avec le retour de la croissance. La capitale manque encore d’immeubles résidentiels de ce standing. Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan en mars 2016 a effectué une visite en Guinée. De même que Alpha Condé à Ankara au mois de décembre suivant. Ces visites ont aussi favorisé l’installation d’opérateurs turcs. De même l’ouverture, fin janvier 2017, de deux liaisons hebdomadaires entre Istanbul et Conakry par Turkish Airlines .
Les Turcs grignotent désormais des parts de marché aux constructeurs ouest-africains – sénégalais, béninois, togolais -, qui avaient historiquement la haute main sur le secteur.
« Impossible en revanche de vous dire combien ils sont » confie Aboubacar Diop. Beaucoup nouent des partenariats dans l’anonymat avec des Guinéens et travaillent dans l’informel… Il faudra que l’État encadre ce phénomène, car «il pénalise les sociétés légalement installées».
Comme Turquoise Groupe, dont le siège social est bien visible, dans le quartier de La Minière. Même si sa percée est encore timide, la société tente de concurrencer les entreprises chinoises sur des chantiers d’envergure. Elle s’est vue confier les travaux de génie civil des centrales électriques de Kipé et de Tombo, à Conakry.
Un Complexe immobilier high-tech
Sa compatriote STC Insaat a quant à elle remporté, en 2016, l’appel d’offres international pour la construction de la Waqf City, à Kaloum. C’est un complexe immobilier high-tech comprenant un centre commercial, trois tours (bureaux et appartements), des parkings souterrains, etc.
Chantier des entreprises BTP à Kaloum
Le coût du projet est estimé à 45 millions de dollars. Il est financé par la Banque islamique de développement et l’État guinéen. Ses études ont été réalisées par un cabinet d’architecture turc, EDS Mimarlik, également chargé de la supervision du futur chantier.
L’Egypte a découvert un important gisement d’or dans le sud-est du pays. Ce gisement a une quantité de près de 30 tonnes.
L’annonce a été faite par le ministre égyptien du Pétrole et des Ressources minières Tarek El-Molla.
L’Egypte a découvert une véritable manne dans le Sud-Est du pays. Un gisement d’or évalué à près de 30 tonnes a été trouvé. Indique le ministre égyptien du Pétrole et des Ressources minières Tarek El-Molla. Le gisement a été découvert dans le sud-est.
Cette zone est exploitée par la compagnie minière nationale Shalateen Mining Company, précise le ministre dans un communiqué. Les investissements dans ce gisement pourraient atteindre près d’un milliard d’euros dans les dix prochaines années.
La plupart des mines d’or du pays sont concentrées dans le désert du Sud-Est, riche en minerai. L’année dernière, l’Egypte a publié de nouvelles réglementations concernant l’exploitation des mines. Des réglementations afin d’attirer les investissements des compagnies étrangères.
La compagnie canadienne Aton Resources est devenue la deuxième entité étrangère cette année à obtenir une licence. C’est une licence d’exploitation et d’exploration minières. Pour la première fois depuis une décennie, après la compagnie australo-britannique Centamin.
Le prix de l’or sur le marché mondial s’est maintenu après des pertes initiales. Alors,les investisseurs se sont précipités vers le métal précieux. C’est une valeur refuge dans un contexte mondial morose dû à la pandémie de nouveau coronavirus.