À l’occasion du mois sacré du Ramadan, MoneyGram lance un concours permettant à ses utilisateurs de gagner 10 000 €. Cette somme sera partagée entre l’expéditeur (en Espagne) et le destinataire (dans l’un des 12 pays participants), qui pourra choisir d’en reverser une partie à une association caritative.
Faire du Ramadan un moment privilégié
MoneyGram, l’une des principales sociétés de transfert d’argent au monde, réitère cette année son concours du Ramadan en Espagne. En 2022, le montant à gagner est doublé : le gagnant recevra 10 000 € à partager avec ses proches en Espagne. L’occasion pour la marque, ainsi que pour ses utilisateurs, de faire du Ramadan un moment unique de partage et d’aide aux autres.
Le principe est simple : toute personne qui effectue un transfert d’argent dans une agence Money Gram en Espagne vers l’un des 12 pays participants pendant le Ramadan 2022 participera au tirage au sort. Le gagnant recevra 5 000 €, et le destinataire recevra l’autre moitié de la somme.
Soutenir vos proches n’a jamais été aussi important
Le ramadan étant synonyme de foi et de charité, de nombreuses personnes vivant en Espagne envoient de l’argent à leur famille pendant cette période : on constate une augmentation allant jusqu’à 25 % des transferts d’argent vers les pays musulmans.
Partager plus que de l’argent
Vivre le Ramadan loin de chez soi est parfois difficile. Grâce au concours MoneyGram, les personnes vivant en Espagne peuvent se connecter avec leurs familles en Afrique, en Asie ou en Europe de l’Est et se féliciter d’avoir eu un impact positif dans leur pays d’origine.
De nombreux partenaires locaux ont choisi d’accompagner Money Gram pour ajouter de nombreux prix et avantages à gagner : Wafacash, la Poste tunisienne, etc.
Répandre la joie et l’amour pour le Ramadan
Pour rester fidèle à l’esprit du Ramadan qui consiste à aider les autres, Money Gram offre aux deux gagnants (expéditeur et destinataire) deux options : garder la totalité des 5 000 € ou recevoir seulement 4/5e du montant et faire don de 1 000 € à une cause qui leur tient à cœur.
Pays participant au concours Money Gram du Ramadan
Mise en place d’une grille tarifaire incitative pour les vols reliant la France aux destinations africaines Le thème de l’Afrique au cœur de l’expérience d’accueil offert aux passagers Casablanca le 20 avril – Dans un contexte de reprise soutenue de …
L’équipe de Happy In Africa a eu la chance de rencontrer Chrystelle qui a fondé avec Patrick Maison Ahouë, qui proposera début avril 2022 sur leur site e-commerce et en magasin bio en France des produits 100% bio et équitables venant du Togo.
Chrystelle est Directrice de la Maison Ahouë et connaît tous les rouages du marketing digital. Elle est responsable de l’image de marque et assure le développement commercial en France. Patrick est quant à lui, Directeur des opérations, il assure le pilotage financier et la coordination de la stratégie globale de la Maison Ahouë. C’est l’expert en agribusiness et l’atout terrain en Afrique.
Racontez-nous le début du projet et son histoire ?
J’ai connu Patrick à Lyon en France, en école de commerce. Après nos études, Patrick est reparti au Togo d’où il est originaire et a maturé une idée autour de la food et du bio au Togo et en Afrique. De retour en France, nous nous sommes retrouvés et il m’a fait part de son idée. À cette époque, je travaillais dans une boutique de luxe mais cette nouvelle aventure, pleine de sens et en relation avec l’Afrique, m’a tout de suite tentée.
La fille de mon associé Patrick porte le joli nom de Ahouefa, qui signifié en langue éwé, la langue du Togo « la paix dans la maison ». Ahouë signifiant maison et Fa la paix. C’est ainsi que tout naturellement, après de longues discussions, nous sommes tombés d’accord sur Ahouë et donc Maison Ahouë. Pour nous, « maison » a le sens de foyer, l’endroit où on se sent bien et chez soi.
2. Qu’est-ce que vous vendez ?
D’un côté, nous faisons de l’import de produit brut, bio et équitable comme du café vert, des fèves de cacao, du soja, des fruits frais, des jus, des amandes de cajou… Et de l’autre, nous transformons certains produits comme les jus, les fruits séchés, les cafés en grain et moulus, et les tablettes de chocolat.
Nous proposons du bio (label AB) et de l’équitable, c’est-à-dire que nous soutenons les producteurs en Afrique en leur apportant un appui technique, organisationnel et financier pour privilégier une confiance mutuelle et une relation durable avec eux. Nos produits seront prêts à être vendus en avril 2022 en France et dans l’Union Européenne.
3. Sur quels critères choisissez-vous vos partenaires ?
Toute notre chaîne de valeur est labellisée bio, de nos producteurs en Afrique jusqu’à nos façonniers en France. Nous travaillons directement avec des coopératives de petits producteurs qui sont labellisés bio. Si les producteurs ne sont pas labellisés bio, nous les accompagnons dans leur conversion. Il faut environ deux ans pour une conversion vers le bio.
4. Quel impact souhaitez-vous avoir sur le continent ?
En France, nous voulons promouvoir les produits du terroir africain et mettre en valeur le travail des producteurs africains, bien souvent dans l’ombre. En Afrique, nous souhaiterions apporter de la valeur en créant plus tard des usines de transformation et en formant des personnes sur place. Par exemple, au Togo, il est difficile de transformer des fèves de cacao en chocolat, en volume.
5. Comment voyez-vous Maison Ahouë sur le moyen et long terme ?
Nous allons démarrer avec une petite sélection de produits togolais puis élargir les origines avec la Tanzanie, Éthiopie, Burkina Faso et Côte d’Ivoire. Et enfin proposer d’autres produits du terroir africain : mélange de jus, épices…
Nous aimerions participer au salon Natexpo qui est le salon international des produits biologiques et nous aimerions que des agriculteurs togolais nous accompagnent pour promouvoir leur produit.
Les produits seront disponibles sur notre site e-commerce avec une livraison possible en France et en Union Européenne, dans des magasins de la région lyonnaise et par la suite dans la France entière.
Pour conclure, Maison Ahouë est une promesse d’engagement durable, éthique, responsable et solidaire. Notre volonté est de renforcer les chaînes de valeur des filières agricoles et biologiques, de l’Afrique à la France. Nous souhaitons donner une voix et un visage aux agriculteurs africains bien souvent dans l’ombre, tout en soutenant l’activité des entreprises locales françaises. Nous croyons en un avenir meilleur pour l’Homme et la planète, et faisons de notre mieux pour avoir un impact positif à notre échelle.
Happy In Africa reçoit Moussa TOURE fondateur du moteur de recherche africain MAYYAN. Nous découvrirons son parcours et son expérience entrepreneuriale sur le continent.
Parlez-nous de MAYYAN
Mayyan est un moteur de recherche comme il peut en exister plusieurs sur le marché. Nous ajoutons une grosse différence: c’est la dimension social car 30% des revenus sont destinés au développement du continent Africain. Nous investissons dans des associations sélectionnées minutieusement, qui ont un impact mesurable, une présence sur les différents réseaux sociaux, et en capacité d’intervenir sur un nombre suffisant de pays en Afrique. Le principe est très simple, vous faites vos recherches comme d’habitude, nous vous proposons des liens sponsorisés (annonces) et nous générons des revenus quand vous cliquez sur ces liens pour les régions Europe/Amérique. Nous travaillons ardemment pour que les annonces arrivent sur le continent. Depuis notre lancement, nous sommes content d’avoir reçu plus de 150 000 personnes qui ont réalisé plus de 400 000 recherches.
2. Quelle était votre motivation au démarrage de cette aventure ?
En 2020, je suis arrivé dans une période de ma vie ou j’avais besoin de trouver un sens à mes actions. Mayyan est avant tout une aventure humaine. Mais la graine qui a lancé ce projet est née d’une volonté de trouver un sens à ma vie et de surcroit un sens à la technologie. Je voulais absolument résoudre une problématique, Comment créer un outil que tout le monde aime utiliser, facile, et qui en plus permet de développer mon continent ? Le résultat: Mayyan est née et je pense qu’on va normaliser la publicité digitale en Afrique et surtout les entreprises pourront déployer des stratégies digitales qui ont un impact positif en Afrique.
3. Quelles étaient vos appréhensions quand vous avez décidé de vous lancer?
Je pense que la première appréhension est tout simplement d’oser se lancer. Une fois que cette première étape est franchie, j’ai forcément eu des appréhensions sur la qualité du produit, l’adhérence au projet, car on s’apprêtait quand même à lancer un moteur de recherche, et donc les utilisateurs allaient nous identifier au Google Africain. Donc très grosse pression.
4. Qu’est-ce qui fait le point fort de MAYYAN?
Je pense après 6mois avoir pu identifier et valider ces forces auprès des utilisateurs finaux :
– Nous sommes les seuls sur ce créneau (moteur de recherche social Afrique).
– Une communauté participatif présente sur les 5 continents
– Un potentiel de développement impressionnant (partenariat constructeur mobile, les entreprise, les gouvernements)
– Une road map technologie orienté Web3 (Blockchain, Crypto)
5. Qu’auriez-vous fait différemment dans votre parcours?
Partir avec un réseau très solide
Réaliser un site funding pour éviter de brûler trop d’argent au début
Je me serais entouré par un board qui valide la stratégie et donne des conseils.
6. Quelle est votre vision de l’Afrique? Comment placez-vous MAYYAN dans celle-ci?
Avant on disait l’Afrique c’est le futur. Moi je dis l’Afrique c’est maintenant! Le digital a connu une ascension fulgurante, les investissements sont solides et structurés, l’approche des entrepreneurs est vraiment pertinente. Chez Mayyan, nous avons un objectif: devenir le point névralgique du digital en Afrique. Tout acteur voulant mettre en avant sa marque, son entreprise, ses produits pourra le faire en Afrique, petite, moyenne et grande entreprise. Nous allons réunir toute la diaspora éclatée sur 4 continents et l’Afrique à un seul et même endroit. En faisant cela nous allons construire des champions en Afrique.
7. Qu’aimeriez-vous dire aux futurs entrepreneurs en Afrique?
Mon objectif est de faire comprendre aux entrepreneurs Africain que tout est possible.. L’impossible n’existe pas et je pense que l’ambition doit être le moteur d’une vie heureuse et épanouie. Cette ambition vous emmènera au sommet peu importe les obstacles sur votre route. Quand vous aurez la définition de ce qu’est la réussite pour vous, personne ne pourra vous arrêter. Un jour j’ai reçu un message qui définit parfaitement ce que je veux dire aux futurs entrepreneurs: « Bonsoir Monsieur Moussa, Félicitations pour Mayyan c’est un honneur de voir un africain réaliser des telles prouesses. Vous m’avez aidé à comprendre que tout est possible. Quand j’étais jeune je disais à mes amis que je travaillerais chez Google un jour et ils me répondaient que c’est de l’utopie, de rêver à un tel point qu’ten jour tu seras plus grand que Google. J’ai une phrase que j’écris sur tous mes agendas, je la lis et me dis que si je ne peux pas toucher le ciel je dois faire venir le ciel à mes pieds. Et tu as justifié cette réplique »
Happy In africa vous fait découvrir M. Saindou KANGOUTE qui partage avec nous sa passion pour le sport et la nature.
Racontez-nous l’histoire d’IVOIRE TRAIL ?
Ayant baigné dans le sport depuis mon enfance, il est donc une partie intégrante de ma vie. Ma passion pour le sport et pour la nature m’a amené à pratiquer la randonnée pédestre et celle du trail est venue avec le temps. Je vivais cette expérience derrière ma télé en passant du temps à regarder des chaînes de sport comme TREK ou des compétitions telles que GOLDEN TRAIL, UTMB… Constatant que cette activité était peu connue en Côte d’Ivoire, mon ambition était de vulgariser le trail, et permettre la découverte du patrimoine naturel du pays
2. Pourquoi avoir choisi ce sport en particulier ?
Le trail est avant tout une course, un jogging mais avec plus de challenges car il se pratique dans la nature et le type de terrain peut varier (colline, rocailleux, boueux, sableux…), il peut y avoir des obstacles naturels (arbre, boue, liane, racines cachées sous des feuilles…). Ce sport permet également d’apercevoir de beaux paysages le temps d’une course. J’ai espoir que les participants pourront prendre du plaisir en courant dans les parcs, réserves, forêts classées ou non afin de pouvoir contribuer à la préservation de ces éléments.
3. Qu’est-ce qui vous inspire et vous motive le plus ?
Le retour des trailers. C’est important pour moi; car il représente une boussole vers ma vision. Et ce moment je peux dire que la direction est bonne. Le fait de voir de grandes organisations des événements (GOLDEN TRAIL, UTMB…) que je suis, me pousse à me fixer des objectifs et à mettre en œuvre ce qui est possible de faire avec les moyens de bord.
4. Quelles étaient vos appréhensions quand vous avez décidé de vous lancer ?
Les Ivoiriens vont-ils adhérer au concept ? Quels sont les moyens pour identifier tous les sites où il sera possible de faire du trail en Côte d’Ivoire ? A ces questions, il y’a de plus en plus d’espoir, comme je l’ai dit plus haut les retours sont bons. Les expatriés retrouvent une activité qu’ils ne pratiquaient plus faute de connaissance du territoire, certains ivoiriens découvrent agréablement cette discipline.
5. Quel impact souhaitez-vous avoir sur les participants de vos trails ?
Qu’ils prennent conscience de leur bien- être (physique et mental). C’est important de se sentir bien dans son propre corps. Le sport est un très bon moyen pour arriver à ce résultat. Pour les Ivoiriens : qu’ils connaissent mieux leur pays à travers sa richesse naturelle et sa diversité culturelle. Pour les non-ivoiriens : leur permettre également de découvrir la Côte d’Ivoire à travers la nature et la culture.
6. La cible ivoirienne est en quête constante de nouveautés. Pensez-vous à créer ou ouvrir des parcours différents et de nouvelles activités ?
Oui, l’équipe d’IVOIRE TRAIL essaie de s’améliorer après chaque évènement. Nous prenons en compte les recommandations des participants dans le but d’améliorer l’expérience qu’on pourra partager en communauté. Être une communauté, c’est ce que nous visons. Nous ajoutons de nouveaux parcours tant que le site d’accueil nous le permet, en plus on n’a pas fini de dérouler notre plan d’actions 😁
7. Comment voyez-vous IVOIRE TRAIL dans le futur ?
Une référence dans la vie sportive et plus grande compétition de course à pied en Afrique de l’Ouest, pionnier de la valorisation de l’écotourisme en Côte d’Ivoire.
8. Comment vous positionnez-vous sur les questions écologiques ?
A chaque trail nous nous engageons à créer un évènement écoresponsable : Polluer moins le site d’accueil en mettant en place des dispositifs, faire une mission d’assainissement avant et après chaque trail et sensibiliser les participants sur la protection de l’environnement.
9. Quels sont vos conseils pour faire un bon trail ?
Nos conseils sont simples: il suffit juste d’avoir une paire de chaussures adaptée au trail et une tenue de sport. Ce qui est du reste, c’est de juste profiter de la nature et des bienfaits de cet air pur loin de la pollution des grandes villes.
L’espace technologique africain est un espace nouveau. Les jeunes start-ups africaines sont passionnées par ce qu’elles font. Ils sont capables et ambitieux, et ils ont beaucoup d’énergie, une combinaison puissante qui génère beaucoup d’enthousiasme et de foi dans le potentiel de l’Afrique à rejoindre la scène mondiale.
Le continent dispose d’un vivier de jeunes diversifiés et talentueux, et nous commençons à voir les gouvernements s’engager à utiliser cet immense réservoir d’intelligence pour apporter des changements positifs, notamment grâce à la technologie. L’Afrique est confrontée à de nombreux problèmes réels dans des domaines tels que l’éducation, la santé et les infrastructures, et les technologies que le continent met sur la table permettent d’en résoudre beaucoup. C’est ce que les gens voient et ce qui les intéresse.
Comment le paysagetechnologique évolue-t-il en Afrique ?
Depuis 2012, date du lancement de DEMO Africa, la situation des start-up a fait un bond en avant. Le nombre de ces entreprises est vraiment remarquable, tout comme leur qualité. Une chose qui nous enthousiasme vraiment dans le paysage technologique africain actuel est que, pour la première fois depuis longtemps, nous voyons des technologies créées en Afrique, par des Africains, pour des Africains, mais qui peuvent aussi être utilisées ailleurs dans le monde, et notamment dans d’autres pays en développement. Jusqu’à présent, l’Afrique a été un consommateur net de technologies, mais nous voyons maintenant des personnes développer et utiliser des technologies créées sur le continent. Et nous constatons que ces technologies sont exportées dans le monde entier. C’est très excitant d’être en Afrique en ce moment et de travailler dans le domaine de la technologie.
L’Afrique est confrontée à deux problèmes qui se sont transformés en opportunités. Le premier est que nous avons beaucoup de problèmes. La seconde est que nous avons peu de réseaux téléphoniques fixes. Cette situation a conduit à une utilisation massive de la téléphonie mobile sur le continent, ce qui crée d’énormes possibilités pour les solutions basées sur la téléphonie mobile. Les entreprises émergentes ont reconnu que l’utilisation généralisée de la technologie mobile en Afrique signifie qu’il existe un énorme marché de croissance pour leurs produits. Cela explique pourquoi plus de la moitié des demandes soumises dans le cadre de DEMO Africa sont basées sur le mobile.
Que nous réserve l’avenir ?
Nous commençons à voir des produits et des solutions de classe mondiale sortir d’Afrique, et les gens d’autres continents en prennent note. Nous avons également commencé à voir la création de coentreprises entre des entrepreneurs africains et non africains. Mais surtout, nous constatons un intérêt croissant de la part des sociétés de capital-risque, tant en Afrique qu’en Europe et aux États-Unis. Tous ces facteurs indiquent l’émergence d’un espace très fertile dans lequel des solutions importantes vont commencer à émerger.
Les star-ups africains montrent la voie enmatière d’adaptation au changement climatique
Le développement et le déploiement de technologies vertes permettant d’atténuer les conséquences les plus graves du changement climatique et de s’y adapter sont des éléments clés des efforts visant à construire des sociétés résilientes et durables. Ils sont particulièrement importants en Afrique, l’un des continents qui sera le plus touché par le changement climatique.
Dans ce contexte, c’est une bonne nouvelle que de nombreuses initiatives soient développées à travers le continent pour faire face aux énormes défis à venir. Les entreprises sont à l’avant-garde de ce travail au niveau local, comme en témoigne l’exposition sur les technologies vertes axée sur l’Afrique lors de la Conférence des parties à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (COP 22 – CCNUCC) à Marrakech en novembre 2016.
DEMO Africa est une rampe de lancement pour les jeunes start-ups de nouvelles technologies. C’est un lieu où les entreprises africaines les plus innovantes peuvent présenter leurs produits et montrer à l’Afrique et au reste du monde ce qu’elles ont créé. Chaque année, des start-ups technologiques de toute l’Afrique postulent pour avoir la possibilité de promouvoir leurs innovations lors de la conférence annuelle DEMO Africa. Il s’agit d’entreprises qui résolvent des problèmes du monde réel et qui ont de fortes chances d’atteindre leurs objectifs.
Quelle est la clé pour assurer la durabilité du secteur technologique africain ? La clé de la durabilité réside dans les marchés, qui sont créés en proposant des solutions réelles à des problèmes réels. Si les gens peuvent acheter un produit ou un service qui résout un problème pratique auquel ils sont confrontés, le marché de ce produit se développera. L’Afrique est confrontée à de nombreux défis, mais chacun d’entre eux est en fait une occasion de développer des solutions et des applications pratiques. Nous n’avons pas besoin de copier ce que d’autres ont fait ; nous devons simplement examiner les problèmes que nous avons, identifier un besoin et développer une application pour y remédier. Fondamentalement, nous devons faire les choses à notre manière en Afrique. Cela commence à se produire et c’est très excitant. DEMO Africa offre aux start-ups africaines la possibilité de présenter leurs innovations aux investisseurs en capital-risque, aux investisseurs, aux acheteurs de technologies et aux médias. Une nouvelle génération d’entrepreneurs férus de technologie et à l’attitude positive insuffle du dynamisme aux jeunes entreprises africaines. DEMO Africa est un lieu où la plupart des entreprises innovantes d’Afrique peuvent présenter leurs produits.
Constatez-vous une amélioration du climat d’investissement ?
Nous observons que la communauté des investisseurs reconnaît de plus en plus les importantes opportunités d’investissement en Afrique dans le domaine technologique en pleine expansion. Les investisseurs jouent un rôle essentiel, car les investissements permettent aux entrepreneurs d’atteindre leurs objectifs, et le succès de toute start-up dépend de sa capacité à étendre ses activités.
Mais nous avons encore du chemin à faire pour attirer les investisseurs locaux, qui sont encore plus à l’aise pour soutenir des projets de type traditionnel. Tant que la communauté des investisseurs locaux ne reconnaîtra pas pleinement la valeur des investissements technologiques, il sera très difficile d’investir durablement dans les jeunes pousses africaines. De nombreux investisseurs européens et de la Silicon Valley ne comprennent pas vraiment l’environnement local et ont donc tendance à ne pas investir massivement dans les start-ups. Les investisseurs locaux jouent donc un rôle essentiel. Les start-ups africaine sont en train de percer et, bien que lentement, ils font de bons progrès.
Comment les jeunes entreprisesbénéficient-elles de DEMO Africa ?
DEMO Africa offre aux jeunes entreprises une rampe de lancement pour leurs produits et la possibilité d’attirer les investissements et la publicité dont elles ont tant besoin. Ils peuvent profiter du soutien et des conseils offerts par une équipe de formateurs et de mentors lors de nos journées de formation. Ces cours intensifs destinés aux entrepreneurs couvrent tous les aspects du développement des entreprises, y compris la propriété intellectuelle, pendant trois jours. DEMO Africa prépare les jeunes entreprises à présenter un argumentaire efficace lors de leur événement de présentation, et assure un suivi à six mois pour les aider à faire face à toute difficulté imprévue.
Ils bénéficient également d’une large exposition médiatique et, surtout, font partie du réseau mondial de DEMO Africa. Si une start-up présente à DEMO Africa, elle pourra également présenter à d’autres événements DEMO ailleurs. Par exemple, si vous décidez d’entrer sur le marché américain, vous pouvez présenter à DEMO Silicon Valley, ou si vous voulez entrer sur le marché brésilien, vous pouvez aller à DEMO Brazil.
La normalisation de la scène politique et une croissance soutenue redonnent au pays une place privilégiée en Afrique de l’Ouest. Le nombre d’explorations et de mines en construction et/ou en exploitation augmente chaque année en Côte d’Ivoire, l’un des dix pays à la plus forte croissance économique au monde. La relance de l’exploitation de l’or et des autres minerais fait partie du plan d’action stratégique du gouvernement ivoirien. Les ressources de la Cote d’ Ivoire sont nombreuses : or, manganèse, nickel, bauxite, cuivre, cobalt, colombo, tantalite… et même diamants.
Le potentiel minier de la Côte d’Ivoire est exceptionnel et le secteur est en plein essor.
En matière d’or, le Ghana, avec 159 Tn en 2019, est le premier producteur d’Afrique et le troisième au monde derrière l’Australie et le Canada, grâce à la ceinture géologique » Birimian Greenstone « . Ce qui est impressionnant, c’est que seulement un cinquième de cette formation rocheuse se trouve sur le territoire ghanéen, tandis que plus d’un tiers se trouve en Côte d’Ivoire, et le reste au Burkina Faso et au Sénégal.
Le Burkina Faso et la Côte d’Ivoire représentent 35% des découvertes d’or en Afrique de l’Ouest, et 60% de la zone « Birimian » se trouve sur leur territoire. Le potentiel est énorme et encore largement sous-exploité.
Des opportunités dans un secteur dynamique
Dynamiser le secteur minier est une priorité pour la Côte d’Ivoire, l’un des dix pays au monde ayant la plus forte croissance économique et l’un des rares à maintenir un taux de croissance positif en 2020, avec 2,3% malgré la pandémie, et une prévision de 6% pour 2021, selon le FMI.
source image: afrik.com
L’exploitation minière représente actuellement 5 % du PIB de la Côte d’Ivoire et est en passe de devenir le deuxième moteur de la croissance économique après l’agriculture, avec un objectif de 8 % du PIB d’ici 2030.
Un seul exemple : au cours de la dernière décennie, le secteur minier de la Côte d’Ivoire a multiplié par quatre sa production d’or et par 24 sa production de manganèse. Et il est toujours en forte croissance !
L’effervescence du secteur minier en Côte d’Ivoire, et en Afrique de l’Ouest en général, est un fait, avec tout ce que cela implique en termes d’opportunités d’affaires dans les domaines du forage, du dynamitage, du transport et de l’acheminement, du drainage, de la gestion des ressources minérales, de l’acquisition de machines, de réactifs chimiques et d’un long etcetera.
La Côte d’Ivoire est le sixième producteur d’or en Afrique et le 22e au classement mondial, avec une production de 32,4 Tn en 2019 contre 24,5 Tn en 2018 (+33%) et un objectif de 50 Tn en 2025 grâce à l’exploitation future de plusieurs projets miniers en phase avancée. L’étape suivante, et l’un des objectifs du gouvernement ivoirien, est le traitement industriel de l’or à la source, avant son exportation.
En 2019, la production de manganèse a atteint 1,18 million de tonnes (+48% par rapport à 2018) et la production de nickel a atteint 660,144 Tn (+74%). Quant à la bauxite, la première exportation du pays a eu lieu en mai 2020.
En 2020, les sociétés minières ont déclaré un chiffre d’affaires de 1 507 M€ (+29,8 % par rapport à 2019) et un chiffre d’affaires global de 1 696 M€ est attendu en cette fin d’année 2021, avec la mise en production de nouvelles mines d’or et de colombo-tantalite.
Un secteur attractif pour les investissements étrangers
La Côte d’Ivoire, membre de l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives (ITIE), dispose d’un code d’investissement minier très attractif pour les investissements directs étrangers (IDE). D’ici 2022, le volume total des investissements dans le secteur devrait atteindre 762 millions d’euros.
La Côte d’Ivoire compte actuellement sept mines d’or, quatre mines de manganèse, une mine de bauxite et une mine de nickel/cuivre. Une demi-douzaine d’autres mines d’or, deux mines de fer, une mine de manganèse, trois mines de nickel/cuivre et une mine de colombo/tantalite sont en préparation.
En outre, la Côte d’Ivoire, pays membre du processus de Kimberley, cherche à accroître et à industrialiser sa production de diamants.
Politique minière du gouvernement
Pour stimuler et consolider cette croissance remarquable, le ministère ivoirien des mines, du pétrole et de l’énergie prévoit de mettre en œuvre de multiples actions stratégiques d’ici à 2025, notamment :
Développement et « formalisation » du secteur minier artisanal avec le soutien, entre autres, de l’UE.
Organisation d’un salon ivoirien des mines et carrières.
Démarrage d’une usine de raffinage de l’or dans le pays.
Création d’un laboratoire national d’analyse minérale et d’études géologiques.
Mise en œuvre du système de certification du processus de Kimberley (KPCS).
Combattre et éradiquer les mines illégales opérant dans le pays.
Projet de développement minier intégré de l’Ouest (PDIMO) : comprenant la modernisation et l’expansion du port de San Pedro et la construction de la ligne ferroviaire San Pedro – Mali.
Développement local : la contribution des sociétés d’exploitation au fonds de développement minier local s’est élevée à 6 millions d’euros en 2020, avec une prévision de 8,48 millions d’euros en 2021.
Le pays d’Afrique centrale augmente le nombre de visiteurs en mettant en valeur son patrimoine naturel.
Le Cameroun est décrit comme « une Afrique en miniature ». Elle bénéficie d’une géographie diversifiée. Le pays d’Afrique centrale, dont la taille est similaire à celle de l’Espagne, comprend des zones côtières, de jungle et de savane. Sa carte étirée multiplie les points cardinaux, dont les quatre habituels plus l’extrême nord ou la côte, entre autres nouvelles orientations. Plus de 250 groupes ethniques scellent sa richesse. Un patrimoine qu’ils mettent en valeur pour attirer les visiteurs et dynamiser le tourisme, encore minoritaire.
Pourquoi le Cameroun attire peu de touristes ?
Qu’est-ce qui l’empêche d’être massif ? La logique conduit à penser qu’il suffirait à de nombreuses personnes de poser le pied sur son sol pour réaliser leur rêve d’explorer le continent. Cependant, les infrastructures, les complications liées aux visas et les difficultés d’accès depuis l’Europe ou l’Amérique font que l’économie dérivée du tourisme ne dépasse pas 2,4 % du produit intérieur brut (PIB). Et l’on estime qu’en 2015, à peine 48 000 emplois y étaient directement liés. 124 000, y compris les emplois indirects, et avec seulement 3 000 emplois prévus cette année.
Le manque de sécurité joue également un rôle. La ceinture qui relie le nord du pays au Niger et au Nigeria et s’étend jusqu’à la Méditerranée est sous la terreur de groupes djihadistes tels que Boko Haram. Contre ces facteurs négatifs et en mettant en avant l’unité, la tolérance et la pluralité des options, la rencontre Femmes, sport et tourisme. Les événements sportifs féminins et la promotion des destinations africaines, qui ont eu lieu à Yaoundé, la capitale. Les autorités camerounaises et Taleb Rifai, le secrétaire général de l’Organisation mondiale du tourisme (OMT), ont discuté des possibilités offertes par le pays. « Le Cameroun en particulier et l’Afrique en général ont les bases pour être une destination de masse : la culture et le patrimoine naturel », a souligné M. Rifai dans l’un de ses discours.
L’économie dérivée du tourisme ne dépasse pas 2,4% du produit intérieur brut.
« La croissance est importante. Mais nous devons aussi apprendre des erreurs des autres. Le patrimoine et l’héritage doivent être protégés », a ajouté le secrétaire général. Les défis de ce changement, pour un élan qui souffre encore de l’hésitation du tourisme, est de changer la perception du Cameroun à l’étranger. « Je ne crois pas que le Cameroun projette une mauvaise image. C’est un mensonge. Vous ne devez pas dire « le Cameroun est sûr, venez » mais raconter des histoires, raconter ce que vous avez vécu. Il y a ici un immense talent qui est inconnu. Quand vous dites ‘ne voyagez pas là-bas’, vous ne punissez pas les gens de là-bas, mais les gens d’ici », a déclaré le secrétaire général depuis l’auditorium de l’hôtel Hilton de Yaoundé, où se tenait la conférence.
Prendre exemple sur les pays africains qui ont su profiter du tourisme
Un PIB de 27,13 milliards d’euros en 2015 et une prévision de croissance minime pour 2017, selon les données de la Banque mondiale, n’aident pas à entreprendre des réformes. L’organisation de la Coupe d’Afrique des Nations de football féminin se voulait un stimulant, du moins pour les huit pays du continent qui participent au tournoi. Défini par Rifai comme « le pétrole qui ne s’épuise jamais », le tourisme dans le pays tente de se redresser depuis plusieurs années. Sans réponse convaincante. Parmi les participants à la conférence, on a parlé de l’Afrique du Sud – qui a su profiter de l’attrait de la Coupe du monde 2010, alors qu’elle connaissait déjà un flux constant vers ses plages et ses espaces naturels – ou du Maroc, porte d’entrée de l’Afrique, accessible et à l’exotisme entêtant de bazars et de déserts exploités depuis des décennies.
L’arbitraire du tourisme, en tout cas, n’accepte pas les prévisions à long terme. Regardez la Tunisie ou l’Égypte, autrefois de grandes destinations mondiales, mais qui, ces dernières années, sont en déclin en raison de l’instabilité politique et du risque d’attentats, bien qu’elles abritent certaines des plus grandes merveilles du monde. A cet égard, le Cameroun peut se targuer de la solidité de sa République, dirigée depuis 1982 par Paul Biya. En outre, le pays est présenté comme sûr et, surtout, comme une nation unie contre la violence et toute forme de discrimination ethnique ou sexuelle.
Le tourisme au Cameroun est crucial pour booster la croissance
« Je dis au président, au ministre : le tourisme est crucial. Je suis heureux de savoir que c’est l’une des cinq sources de revenus du pays », a déclaré M. Rifai. Les quatre autres, selon la Banque africaine de développement, sont :
le secteur secondaire, tiré par la transformation du pétrole
le secteur tertiaire
le secteur primaire, avec les exportations de cacao et de bananes.
Le Cameroun, en raison de sa situation géographique, est « très spécial ». « Elle est au cœur de l’Afrique et représente l’essence de l’Afrique. J’espère que l’optimisme sera au rendez-vous. L’important est que la façon de voir la vie soit renforcée, que ceux qui veulent la détruire soient expulsés. Ne laissez rien vous faire désespérer », a poursuivi le secrétaire général de l’OMT, faisant référence aux problèmes terroristes dans la région, qui maintiennent des dizaines de milliers de réfugiés dans le nord, principalement en provenance du Nigeria, selon les rapports de Médecins Sans Frontières.
Certains participants ont demandé ce que l’on attendait de l’événement. Pour le ministre du tourisme Bello Bouba Maigari, la visite de Taleb Rifai est un indicateur d’optimisme et de confiance. « Il existe une volonté politique de stimuler le sport et le tourisme », a-t-il déclaré. Parallèlement au championnat de football féminin, les dirigeants n’ont pas voulu oublier la pertinence de la Coupe et le rôle de ses joueurs : « Le tournoi est très inspirant et très suivi par la population », a déclaré le Premier ministre.
APO Group est le leader de la distribution de communiqués de presse en Afrique depuis 2007. Sa clientèle se compose d’entreprises internationales de premier plan issues de divers secteurs, qui ont toutes des idées intéressantes à partager et des histoires à raconter lorsqu’elles s’installent en Afrique ou y développent leur présence. APO Group investit dans de nouvelles façons d’aider les entreprises et les entrepreneurs à communiquer et à prospérer, car APO Group s’engage pour l’excellence africaine.
Bonjour Monsieur Nicolas Pompigne-Mognard, Pouvez-vous nous présenter en quelques mots APO Group peu connu du grand public mais très connu au niveau B2B ?
APO Group est le principal cabinet panafricain de conseil en communication et le leader de la distribution de communiqués de presse en Afrique. Nous travaillons avec plus de 300 clients, allant des gouvernements aux institutions internationales, en passant par des personnalités et des entreprises actives en Afrique. Parmi les clients prestigieux d’APO Group figurent Facebook, Canon, General Electric, NBA, DHL, Marriott Group, Ecobank, Siemens, Standard Chartered, Orange, Jack Ma Foundation, la Banque africaine de développement, l’Organisation mondiale de la santé… APO Group est le partenaire stratégique de Getty Images en Afrique et a établi des partenariats avec l’Union Africaine de Radiodiffusion, Bloomberg, Thomson Reuters, CNBC Africa, et Africanews, une filiale d’Euronews. APO Group est le cabinet de conseil en communication panafricain exclusif de la NBA et de la Basketball Africa League. APO Group est également le principal sponsor officiel de l’association africaine de World Rugby, Rugby Africa, un sponsor officiel de Team Qhubeka, la seule équipe cycliste professionnelle africaine de l’UCI World Tour, et le partenaire officiel du programme africain de l’Olympique de Marseille « OM Africa ». APO Group est membre de la Coalition mondiale pour l’éducation de l’UNESCO, de l’Alliance mondiale pour les partenariats sur l’éducation aux médias et à l’information dirigée par l’UNESCO, et a établi des partenariats avec l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la Commission de l’Union africaine, Invest Africa, l’African Venture Capital Association (AVCA), Venture Capitalism for Africa (VC4A) et la Chambre de commerce Canada-Afrique.
Nicolas Pompigne-Mognard
Avez-vous été impacté par la crise Covid-19 ?
Non. La pandémie ne nous a pas du tout affectés. En fait, nous avons enregistré une croissance importante dans nos activités de relations publiques et de distribution de communiqués de presse. En 2020, nous avons distribué 30 % de communiqués de presse de plus que l’année précédente. Je pense que cela est dû en partie à une évolution dans la façon dont les entreprises communiquent. Elles investissent davantage dans les relations publiques et moins dans la publicité.
Félicitations pour cet accord avec Getty Images, pouvez-vous nous dire ce que ça va changer pour vos clients ?
Getty Images est l’un des noms les plus immédiatement reconnaissables dans les médias internationaux, avec plus d’un million de clients dans presque tous les pays du monde. A travers cet accord, les images et les communiqués de presse de nos clients vont être distribués par Getty Images, sans frais supplémentaires pour les clients d’APO Group. C’est la toute première fois que Getty Images ouvre sa plateforme de distribution au contenu d’un service de distribution de communiqués de presse. Ce qui rend cet accord unique est que les abonnés de Getty Images pourront non seulement accéder aux images, mais aussi aux communiqués de presse de nos clients. C’est une occasion fantastique de montrer au monde le véritable visage de l’Afrique. Grace à ce partenariat, nous allons faire en sorte qu’un contenu africain positif et puissant atteigne les salles de rédaction du monde entier. Getty Images va nous aider à diffuser ces informations dans le monde entier. Pour l’Afrique, cela signifie la possibilité de briser le cycle des informations négatives et de présenter au monde une image plus juste de l’Afrique. Je suis très reconnaissant à Getty Images d’avoir ouvert son réseau à l’Afrique. Ils utilisent leur portée et leur réputation inégalées pour élever notre continent sur la scène mondiale.
Nicolas Pompigne-Mognard
Les nouvelles sur l’Afrique dans les médias internationaux sont souvent négatives et pourtant vous comme nous savons qu’il y a de belles histoires à raconter, comment allez-vous pouvoir mettre encore plus en avant nos informations positives ?
APO Group a toujours fait pression pour que le discours sur l’Afrique change. Nous prenons des informations africaines positives et les mettons à la disposition d’une audience mondiale à travers tous nos canaux de distribution. Désormais, avec Getty Images, nous pouvons aller beaucoup plus loin. Ce qui est vraiment unique dans notre partenariat, c’est que nous pouvons fournir aux abonnés de Getty non seulement des images, mais aussi des communiqués de presse. Cela permet de fournir un contexte et ajoute à la richesse de la narration. À nous deux, nous sommes en mesure d’atteindre la majorité des médias du monde et de les inciter à s’intéresser à ce qui se passe en Afrique au quotidien. Comme nous, Getty Images a à cœur de changer les perceptions internationales et souhaite participer à l’évolution du continent en termes de statut sur la scène mondiale. En ouvrant son réseau à APO Group, Getty Images remplit cet objectif, tout en bénéficiant d’un éventail d’images de qualité et authentiquement africaines.