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Notre success story: MAYYAN

Happy In Africa reçoit Moussa TOURE fondateur du moteur de recherche africain MAYYAN. Nous découvrirons son parcours et son expérience entrepreneuriale sur le continent.

  1. Parlez-nous de MAYYAN

Mayyan est un moteur de recherche comme il peut en exister plusieurs sur le marché. Nous ajoutons une grosse différence: c’est la dimension social car 30% des revenus sont destinés au développement du continent Africain. Nous investissons dans des associations sélectionnées minutieusement, qui ont un impact mesurable, une présence sur les différents réseaux sociaux, et en capacité d’intervenir sur un nombre suffisant de pays en Afrique. Le principe est très simple, vous faites vos recherches comme d’habitude, nous vous proposons des liens sponsorisés (annonces) et nous générons des revenus quand vous cliquez sur ces liens pour les régions Europe/Amérique. Nous travaillons ardemment pour que les annonces arrivent sur le continent. Depuis notre lancement, nous sommes content d’avoir reçu plus de 150 000 personnes qui ont réalisé plus de 400 000 recherches. 

2. Quelle était votre motivation au démarrage de cette aventure ?

En 2020, je suis arrivé dans une période de ma vie ou j’avais besoin de trouver un sens à mes actions. Mayyan est avant tout une aventure humaine. Mais la graine qui a lancé ce projet est née d’une volonté de trouver un sens à ma vie et de surcroit un sens à la technologie. Je voulais absolument résoudre une problématique, Comment créer un outil que tout le monde aime utiliser, facile, et qui en plus permet de développer mon continent ? Le résultat: Mayyan est née et je pense qu’on va normaliser la publicité digitale en Afrique et surtout les entreprises pourront déployer des stratégies digitales qui ont un impact positif en Afrique.

3. Quelles étaient vos appréhensions quand vous avez décidé de vous lancer?

Je pense que la première appréhension est tout simplement d’oser se lancer. Une fois que cette première étape est franchie, j’ai forcément eu des appréhensions sur la qualité du produit, l’adhérence au projet, car on s’apprêtait quand même à lancer un moteur de recherche, et donc les utilisateurs allaient nous identifier au Google Africain. Donc très grosse pression.

4. Qu’est-ce qui fait le point fort de MAYYAN?

Je pense après 6mois avoir pu identifier et valider ces forces auprès des utilisateurs finaux :

–  Nous sommes les seuls sur ce créneau (moteur de recherche social Afrique). 

– Une communauté participatif présente sur les 5 continents

– Un potentiel de développement impressionnant (partenariat constructeur mobile, les entreprise, les gouvernements) 

– Une road map technologie orienté Web3 (Blockchain, Crypto)

5. Qu’auriez-vous fait différemment dans votre parcours?

  • Partir avec un réseau très solide
  • Réaliser un site funding pour éviter de brûler trop d’argent au début
  • Je me serais entouré par un board qui valide la stratégie et donne des conseils.

6. Quelle est votre vision de l’Afrique? Comment placez-vous MAYYAN dans celle-ci?

Avant on disait l’Afrique c’est le futur. Moi je dis l’Afrique c’est maintenant! Le digital a connu une ascension fulgurante, les investissements sont solides et structurés, l’approche des entrepreneurs est vraiment pertinente. Chez Mayyan, nous avons un objectif: devenir le point névralgique du digital en Afrique. Tout acteur voulant mettre en avant sa marque, son entreprise, ses produits pourra le faire en Afrique, petite, moyenne et grande entreprise. Nous allons réunir toute la diaspora éclatée sur 4 continents et l’Afrique à un seul et même endroit. En faisant cela nous allons construire des champions en Afrique.

7. Qu’aimeriez-vous dire aux futurs entrepreneurs en Afrique?

Mon objectif est de faire comprendre aux entrepreneurs Africain que tout est possible.. L’impossible n’existe pas et je pense que l’ambition doit être le moteur d’une vie heureuse et épanouie. Cette ambition vous emmènera au sommet peu importe les obstacles sur votre route. Quand vous aurez la définition de ce qu’est la réussite pour vous, personne ne pourra vous arrêter. Un jour j’ai reçu un message qui définit parfaitement ce que je veux dire aux futurs entrepreneurs: « Bonsoir Monsieur Moussa, Félicitations pour Mayyan c’est un honneur de voir un africain réaliser des telles prouesses. Vous m’avez aidé à comprendre que tout est possible. Quand j’étais jeune je disais à mes amis que je travaillerais chez Google un jour et ils me répondaient que c’est de l’utopie, de rêver à un tel point qu’ten jour tu seras plus grand que Google. J’ai une phrase que j’écris sur tous mes agendas, je la lis et me dis que si je ne peux pas toucher le ciel je dois faire venir le ciel à mes pieds. Et tu as justifié cette réplique » 

Saindou KANGOUTE
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Notre success Story: IVOIRE TRAIL

Happy In africa vous fait découvrir M. Saindou KANGOUTE qui partage avec nous sa passion pour le sport et la nature.

  1. Racontez-nous l’histoire d’IVOIRE TRAIL ?

Ayant baigné dans le sport depuis mon enfance, il est donc une partie intégrante de ma vie. Ma passion pour le sport et pour la nature m’a amené à pratiquer la randonnée pédestre et celle du trail est venue avec le temps. Je vivais cette expérience derrière ma télé en passant du temps à regarder des chaînes de sport comme TREK ou des compétitions telles que GOLDEN TRAIL, UTMB… Constatant que cette activité était peu connue en Côte d’Ivoire, mon ambition était de vulgariser le trail, et permettre la découverte du patrimoine naturel du pays

2. Pourquoi avoir choisi ce sport en particulier ?

Le trail est avant tout une course, un jogging mais avec plus de challenges car il se pratique dans la nature et le type de terrain peut varier (colline, rocailleux, boueux, sableux…), il peut y avoir des obstacles naturels (arbre, boue, liane, racines cachées sous des feuilles…). Ce sport permet également d’apercevoir de beaux paysages le temps d’une course. J’ai espoir que les participants pourront prendre du plaisir en courant dans les parcs, réserves, forêts classées ou non afin de pouvoir contribuer à la préservation de ces éléments.

3. Qu’est-ce qui vous inspire et vous motive le plus ?

Le retour des trailers. C’est important pour moi; car il représente une boussole vers ma vision. Et ce moment je peux dire que la direction est bonne. Le fait de voir de grandes organisations des événements (GOLDEN TRAIL, UTMB…) que je suis, me pousse à me fixer des objectifs et à mettre en œuvre ce qui est possible de faire avec les moyens de bord.

4. Quelles étaient vos appréhensions quand vous avez décidé de vous lancer ?

Les Ivoiriens vont-ils adhérer au concept ? Quels sont les moyens pour identifier tous les sites où il sera possible de faire du trail en Côte d’Ivoire ? A ces questions, il y’a de plus en plus d’espoir, comme je l’ai dit plus haut les retours sont bons. Les expatriés retrouvent une activité qu’ils ne pratiquaient plus faute de connaissance du territoire, certains ivoiriens découvrent agréablement cette discipline.

5. Quel impact souhaitez-vous avoir sur les participants de vos trails ?

Qu’ils prennent conscience de leur bien- être (physique et mental). C’est important de se sentir bien dans son propre corps. Le sport est un très bon moyen pour arriver à ce résultat. Pour les Ivoiriens : qu’ils connaissent mieux leur pays à travers sa richesse naturelle et sa diversité culturelle. Pour les non-ivoiriens : leur permettre également de découvrir la Côte d’Ivoire à travers la nature et la culture.

6. La cible ivoirienne est en quête constante de nouveautés. Pensez-vous à créer ou ouvrir des parcours différents et de nouvelles activités ?

Oui, l’équipe d’IVOIRE TRAIL essaie de s’améliorer après chaque évènement. Nous prenons en compte les recommandations des participants dans le but d’améliorer l’expérience qu’on pourra partager en communauté. Être une communauté, c’est ce que nous visons. Nous ajoutons de nouveaux parcours tant que le site d’accueil nous le permet, en plus on n’a pas fini de dérouler notre plan d’actions 😁

7. Comment voyez-vous IVOIRE TRAIL dans le futur ?

Une référence dans la vie sportive et plus grande compétition de course à pied en Afrique de l’Ouest, pionnier de la valorisation de l’écotourisme en Côte d’Ivoire.

8. Comment vous positionnez-vous sur les questions écologiques ?

A chaque trail nous nous engageons à créer un évènement écoresponsable : Polluer moins le site d’accueil en mettant en place des dispositifs, faire une mission d’assainissement avant et après chaque trail et sensibiliser les participants sur la protection de l’environnement.

9. Quels sont vos conseils pour faire un bon trail ?

Nos conseils sont simples: il suffit juste d’avoir une paire de chaussures adaptée au trail et une tenue de sport. Ce qui est du reste, c’est de juste profiter de la nature et des bienfaits de cet air pur loin de la pollution des grandes villes.

Le Créateur de la marque Besi
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Besi, la marque d’un jeune entrepreneur togolais basé aux USA

La marque « Besi » est une découverte du jeune américain d’origine togolaise, Carlos Djalédjété. Cette marque prend de l’ampleur et gagne le cœur de plus d’un dans le monde. Besi est un trust (Sportwear & Streetwear) en train de gagner du terrain.

Installé il y a 7 ans dans le Maryland, à Washington DC, Carlos Djalédjété, le jeune entrepreneur de 39 ans, grignote le terrain des grandes marques.
Ce jeune, grâce à son talent, voit son entreprise prendre de la grandeur avec les différents produits qu’il développe. Il produit des sweat, jogging, casque bluetooth de sport, les casquettes, T-Shirt, et leggings. Le patron de « Besi » se projette dans un rêve américain pas si aisé.

« Mon objectif est d’abord d’essayer de ramener la qualité d’ici à un prix abordable à la population africaine… », a affirmé Carlos Djalédjété
Un objectif, qui pour le patron de Besi, s’illustre par ce rêve américain qu’il a hérité. Aussi il veut répondre aux multiples besoins de ses frères africains.

Des innovations basées sur la technologie

Le jeune entrepreneur voit les innovations d’aujourd’hui en ce qui concerne la technologie. En effet c’est un domaine de future, et le sport l’activité première de tout un chacun. Pour lui, s’investir dans ces domaines ne seraient pas une peine perdue. Selon lui tout le monde est appelé forcément à faire le sport.

« Faire le vestimentaire dans le domaine sportif serait un bon investissement… », précise-t-il avant d’ajouter que c’est à partir de cette idée qu’est parti l’ensemble de son entreprise. L’idée « Besi » est née du prénom du jeune entrepreneur (Besié Parc) qui veut de l’authenticité et l’originalité à sa marque. L’entreprise offre de la technologie en fabricant des écouteurs. De plus, elle se projette à embrasser presque tous les domaines de la technologie pour servir un monde plus large.

L’écouteur, avec un son impeccable, est un écouteur wealers bluetooth capable de recevoir des appels. La réception se fait avec une distance de réception de 10 mètres.
« Nous avons choisi d’abord les écouteurs pour entrer dans le marché avec le temps », a lancé le patron de Besi.

Ce jeune entrepreneur d’origine togolaise ne pense pas s’arrêter à un si bon chemin. Il projette plein de choses dans le domaine de la technologie. Bientôt il confectionnera des tenues sportives de tous domaines d’activités sportives. Il pense que la vision de Besi est grande et pour cela il compte réaliser son rêve.