
Avec un certain culot, la chanteuse d’origine malienne s’est affichée aux côtés de stars comme Oumou Sangaré, Fally Ipupa et MHD. Aujourd’hui, elle sort son premier album.
Elle n’est pas encore aussi connue que le personnage japonais Hiro Nakamura de la série «Heroes», dont elle s’est inspirée pour son nom de scène. Mais Aya Nakamura est une des chanteuses d’origine africaine qui montent. Elle est très présente, notamment, dans les playlists des adolescentes sensibles aux influences R’n’B et afro-trap.
A la terrasse d’un café parisien, elle enchaîne les rendez-vous pour la promotion de son premier album, Journal intime, dont la sortie est prévue le 25 août. La jeune femme y raconte son parcours, ses rêves de petite fille. « Ce sont des leçons de vie, des histoires d’amitié. » Et, finalement, pas tellement d’histoires de cœur, alors qu’elle est parfois accusée de «pleurnicher» dans ses chansons. Elle parle comme si elle avait l’habitude des interviews, mais ne s’est pas encore faite au succès. « Il y a quelques jours, en Espagne, j’ai entendu mon son dans la rue. Ça m’a vraiment surprise. »
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