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Une plantation d'avocat
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Les avocats de Tanzanie devraient bientôt être sur les étagères sud-africaines

Au cours des dernières semaines, il y a eu une pénurie saisonnière d’avocats qui a rendu la vie difficile (et beaucoup plus chère) à certains Sud-Africains pour obtenir leur fruit vert favori. Il y a actuellement une pénurie d’avocats, car ils sont hors saison, déclare Derek Donkin, PDG de la SA Subtropical Growers ’Association.

La saison des avocats sud-africains s’étend de la fin de février à mi-octobre. Il existe certaines régions de production en Afrique du Sud où les avocats peuvent être récoltés de novembre à janvier, mais ils ne représentent qu’une petite partie de la récolte, a déclaré Donkin.

Sur son site Web, Woolworths a averti qu’il subissait des pénuries d’approvisionnement : « Nous travaillons dur pour résoudre ce problème et nous nous excusons pour la gêne occasionnée. »

Enfin, cette crise sera résolue très prochainement.

Les avocats de Tanzanie devraient bientôt être offerts dans les marchés sud-africains

Les avocats de Tanzanie devraient être en vente en Afrique du Sud avant la prochaine saison – et peuvent aider à modérer les prix actuellement au-dessus de R30 pour un seul fruit dans certains cas.

Les gouvernements d’Afrique du Sud et de Tanzanie se sont mis d’accord sur la manière de finaliser la vérification des mesures phytosanitaires sans inspection physique, ce qui est entre difficile et impossible en raison du Covid-19, a déclaré un groupe commercial cette semaine.

S’assurer que les avocats importés ne sont pas accompagnés de ravageurs dangereux devrait être le dernier obstacle majeur pour les importations, de sorte que toutes les exigences devraient maintenant être satisfaites à temps pour la prochaine récolte majeure de la Tanzanie en mai.

Cela, à son tour, peut aider à maintenir les prix bas en Afrique du Sud.

L’Afrique du Sud a connu une grave pénurie saisonnière d’avocats au début de 2021, malgré des volumes de production locale très importants. Pendant ce temps, la Tanzanie a développé de manière agressive sa culture d’avocat, de près de zéro il y a dix ans à des valeurs d’exportation qui se comptent maintenant dans les centaines de millions de rands.

On estime que 50 000 agriculteurs tanzaniens sont actuellement impliqués dans la production d’avocat, les exportations étant principalement destinées à l’Europe. Des avocats frais haut de gamme figurent sur les étagères de plusieurs grands supermarchés.

Le plan de biosécurité pour les avocats tanzaniens en Afrique du Sud est en cours d’élaboration depuis mi-2020, et au moins un importateur avait espéré importer des fruits pour la consommation locale. Mais l’incapacité de vérifier les mesures en place en Tanzanie a contribué aux retards.

Les producteurs sud-africains, qui ont eu du mal à répondre à la demande, ont soutenu le processus de certification des fruits tanzaniens pour l’importation. Sur d’autres marchés, notamment aux États-Unis, les importateurs ont fait valoir que des prix plus stables et moins de pénuries ont profité aux producteurs locaux grâce à une demande et des prix plus élevés.

La superficie plantée d’avocat en Afrique du Sud augmente d’environ 5% par an, mais les arbres prennent six à huit ans avant de devenir pleinement productifs.

Bagoré Bathily
Business Entreprenariat Réussite

Un entrepreneur sénégalais réalise un revenu de 15 millions d’euros grâce à une laiterie

Après avoir constaté que le lait consommé localement était essentiellement importé, Bagoré Bathily a ouvert une laiterie à Richard Toll, au nord du Sénégal. 15 ans plus tard, son entreprise réalise un chiffre d’affaires annuel de 15 millions d’euros. Il rentabilise l’activité de 1 200 bergers.

Dans la petite ville de Richard Toll située en bordure du fleuve Sénégal, La laiterie du Berger améliore la vie des éleveurs en général et des femmes en particulier. À l’origine de cette initiative, l’entrepreneur Franco-Sénégalais Bagoré Bathily, revenu dans son pays natal après avoir effectué des études de médecine en Belgique. Lors d’une expérience professionnelle dans une ONG en Mauritanie, il constate que les éleveurs de lait gagnent moins d’un dollar par jour. Au Sénégal, il remarque aussi que le lait consommé dans sa commune est essentiellement importé.

En 2006, il décide de créer une laiterie afin de rentabiliser l’activité. Il veut veut donner une valeur ajoutée au lait local. Durant son parcours, il rencontre des difficultés d’ordres financier et technique. Il met près de 4 années à faire véritablement décoller son entreprise. Avec l’aide de sa famille, il réussit à monter un modèle économique solide. Il ets’attire les faveurs de la multinationale alimentaire Danone. Ce qui l’aide dans la mise en place d’une main-d’œuvre qualifiée et dans le processus de production du lait.

Plus tard, il reçoit une aide de la Banque française Crédit Agricole. Ce qui l’aide pour le développement d’un réseau regroupant les acteurs de la filière. De fil en aiguille, il réussit à bâtir une petite industrie agroalimentaire qui emploie à ce jour 450 personnes. Il réalise un chiffre d’affaires de 15 millions d’euros par an. L’activité est d’autant plus importante à Richard Toll qu’elle contribue à augmenter les revenus de 1 200 bergers. Les bergers sont en majorité de femmes.

Plus de 8 000 points de vente réceptionnent les produits de l’entreprise laitière. Crème fraîche, lait pasteurisé, yaourt ou encore thiakry (lait mélangé avec des grains de blé ou de millet), constituent la gamme de produits de La laiterie du Berger. Elle est commercialisée sous le nom « Dolima ». En plus d’améliorer les conditions de vie des éleveurs, Bagoré Bathily milite également en faveur de la résolution des problèmes rencontrés au niveau local. Ce qui permet la valorisation et la mise à l’échelle industrielle des produits made in Sénégal.

Panaf rewards crowdfunding (2)
Réussite

WE ARE PANAF (Nous sommes Panaf)

WE ARE PANAF (Nous sommes Panaf), est une campagne de financement participatif, initiée par le Panaf. Cette campagne vise à financer la formation professionnelle gratuite de 100 migrants. Des migrants femmes, jeunes & seniors, au métiers de la cuisine, boulangerie, pâtisserie, du service. Une formation à l’entreprenariat en Côte d’Ivoire, et bientôt au Sénégal et en France grâce à vous.

Le Panaf est un tiers lieu culinaire panafricain de 1200 m2, entièrement dédié aux cuisines d’Afrique et de la diaspora. C’est un lieu alternatif à portée sociale, écologique, environnementale & culturelle. Il comporte un restaurant, un traiteur, une boulangerie, un coffee shop, un lounge, une épicerie fine. Le Panaf a aussi un coffice, une école de cuisine, un musée culinaire et un potager urbain.

Le Panaf est un lieu de rencontres, d’échanges, de partage, de mixité sociale, et d’inclusion. Il développe la créativité, les connaissances, la transmission autour des cuisines d’Afrique et de sa diaspora. Grâce à ses activités, le Panaf propose une véritable solution contre le chômage et les migrations irrégulières en Afrique. Cette solution a un impact social à travers la formation professionnelle, l’entreprenariat et le développement durable.

Au regard de l’actualité , le Panaf souhaite développer son impact (morts de 480 migrants au large des côtes du Sénégal ou démantèlement des camps de migrants en France). Le Panaf veut s’étendre au Sénégal et en France au moyen d’une campagne de crowdfunding.

Pour 2021, le Panaf souhaite former 100 bénéficiaires grâce à votre soutien.

Objectifs de la campagne WE ARE PANAF

  • Objectif affiché 30 000 euros : Ouverture d’un Panaf au Sénégal en 2021 (S1) pour la formation de 30 bénéficiaires en cuisine. Pourquoi le Sénégal? Ces dernières semaines, plus de 480 migrants sont morts en mer. Ces migrants ayant cherché à fuir une crise économique (liée à l’indtustire de la pêche) et sanitaire (on connaît tous COVID-19). On assiste à une véritable recrudescence en Afrique du phénomène migratoire.
  • Deuxième pallier à 50 000 euros : Formation de 50 bénéficiaires au Panaf Abidjan en 2021
  • Troisième pallier à 100 000 euros : Ouverture d’un Panaf à Paris pour la formation de 50 bénéficiaires aux métiers de la cuisine, et à l’entreprenariat. Cette formation sera pour les aider à préparer un projet professionnel en Afrique.
  • Notre cible ? Les migrants, les femmes, les repats, la diaspora. Les jeunes des quartiers populaires et/ou toute personne ayant un projet de retour en Afrique.

Le Panaf vous invite à participer à sa campagne. Lorsque vous participer au Panaf, vous avez des recompenses. Par exemple pour 50€ vous avez droit à un Panaf box (thé+céréales), pour 100€ vous avez droit à un e-cours de cuisine et bien d’autres. Alors n’hésitez pas à participer au Panaf,le panaf c’est vous! We are Panaf, nous sommes le Panaf.

Djaili Amadou Amal
Culture Livres Réussite

La Camerounaise Djaïli Amadou Amal, révélation du Goncourt

Elle a créé la surprise en se hissant parmi les quatre finalistes du Goncourt. Le plus prestigieux des prix littéraires français: la romancière camerounaise Djaïli Amadou Amal, dont l’ouvrage Les Impatientes explore le mariage forcé et la polygamie, veut porter «la voix des femmes du Sahel».

«Pas une seconde» elle n’avait imaginé pouvoir remporter le glorieux sésame. Mais depuis l’annonce des finalistes, la romancière de 45 ans se prend à rêver: «Ramener le Goncourt au Cameroun serait quelque chose d’incroyable, presque d’inespéré», explique-t-elle à l’AFP.

Inespéré comme sa présence parmi les finalistes, que personne n’avait anticipée. Mais aussi un peu inespéré pour un écrivain d’Afrique subsaharienne de remporter le prix le plus convoité du milieu littéraire français, ce qui serait une première.

Son roman, Les Impatientes (éditions. Emmanuelle Collas), également finaliste du Goncourt des lycéens, donne la parole à trois femmes peules à qui l’on ne cesse d’assener «Munyal», patience en peul, pour leur faire accepter leur destin et sa violence induite, le mariage forcé et la polygamie.

Mariée à 17 ans

«Je suis une femme africaine, je vis au Cameroun et donc j’ai décidé de parler de cette société du point de vue des femmes car on ne donne pas suffisamment la parole aux femmes et surtout pas dans le Sahel», insiste-t-elle.

Née dans la région camerounaise du Maroua (extrême-nord) d’une mère égyptienne et d’un père camerounais, Djaïli Amadou Amal est une combattante. Elle fut mariée à l’âge de 17 ans à un quinquagénaire qu’elle ne connaissait pas. Elle parvient, cinq ans plus tard et dans la difficulté, à divorcer.

Dix ans plus tard, elle se remarie mais est victime de violences conjugales. Alors qu’elle parvient à s’échapper de l’emprise de cet homme, il kidnappe ses deux filles pour la faire revenir. Dans le même temps, elle s’accroche pour terminer un BTS en gestion. Seules études que son époux l’a autorisée à suivre, même si elle admet qu’elle aurait préféré faire des études littéraires.

Son salut, elle le trouvera dans la littérature. D’abord la lecture, qui lui permet de s’«évader». Avant de prendre la plume, pour pouvoir «dire ce qu'(elle) ressent». Elle dévore les livres de l’autrice sénégalaise Mariama Bâ ou du Malien Seydou Badian Kouyaté.

Société patriarcale

Son tout premier texte, elle décidera toutefois de ne pas le publier. En 2010, elle finit par sauter le pas avec «Walaande, l’art de partager un mari», qui raconte l’attente sans fin de quatre femmes mariées au même homme. Le livre est un succès de librairie au Cameroun où elle accède à la notoriété. En 2012, elle est invitée au Salon du livre de Paris.

Dans «Les Impatientes», la romancière décrit, dans un style simple et rythmé par des phrases courtes, une société patriarcale qui brise les femmes. Et d’énumérer: «le mariage précoce et forcé comme l’une des premières violences, le viol conjugal qu’on ne veut pas reconnaitre comme tel, les violences physiques et enfin la polygamie comme violence morale.»

La romancière s’attache aussi à montrer à quel point les femmes, d’abord victimes, reproduisent de manière inconsciente ces violences. Que ce soit dans le cadre de l’excision ou du mariage forcé où le rôle de la mère «dans la persuasion et le harcèlement» de la jeune fille est important, selon elle.

«Ces femmes n’agissent pas ainsi par méchanceté, mais parce qu’elles n’ont connu que ce système qu’elles ont pour rôle de reproduire», souligne la romancière, pour qui il faut une «prise de conscience des femmes».

Pour aider à cette prise de conscience, elle a créé dès 2012 l’association Femmes du Sahel. L’association œuvre en faveur de l’éducation des filles de la région. Car si elle se dit «chanceuse d’être allée à l’école» et d’avoir pu faire un BTS, «la réalité est tout autre pour des milliers de petites filles du Sahel».

Vélo de balayage
Made in Africa Réussite

Un jeune ingénieur invente un vélo balayage au Ghana

Un jeune fabrique un vélo de balayage pour rendre propre les rues et aider la communauté au Ghana. L’auteur de cette belle œuvre habite à Takoradi et se nomme Frank Darko. Jeune ingénieur, il est aussi l’inventeur du vélo qui roule sur l’eau.

La nouvelle invention se présente sous la forme d’un tricycle et est renommée un « vélo de balayage ». Ce chef-d’œuvre qu’il a renommé « vélo balayage » a été conçu pour régler les problèmes d’assainissement au Ghana. Ce vélo balaye pendant que vous conduisez. Darko a déclaré qu’avec ce vélo l’environnement peut être maintenu très propre de plus qu’il fonctionne sans carburant.

Sur la nature du vélo de balayage, Darko a déclaré qu’ « avec cet engin, nos rues et notre environnement peuvent être toujours maintenus propres. Il fonctionne sans carburant. J’ai passé cinq mois pour le parfaire parce que j’avais manqué d’outils et de machines. Mais je crois en Dieu que les choses changeront pour le mieux ».

Le jeune ingénieur Frank Darko a expliqué que c’est la saleté de son environnement qui l’a inspiré et poussé à fabriquer ce vélo. Darko parle du problème d’ordures dans son pays le Ghana plus précisément du tas d’ordures sur la rivière Odorna à Accra. En tant que citoyen, il ne pouvait pas rester les bras croisés alors il s’est décidé à trouver une solution pour freiner ce danger.

Cela n’étonne guère car depuis un bout de temps, le Ghana se présente comme un des pays prometteurs dans le domaine technologique. Frank Darko annonce avoir encore dans sa sacoche plusieurs idées qui pourront être bénéfiques à la société. Comme quoi, nous ne sommes pas au bout se nos surprises !

Plateforme-de-paiement-au-Benin
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Une plateforme de paiement électronique pour le Benin

Le Bénin vient de se doter de sa Plateforme Nationale de Paiement Electronique (PNPE). Elle a été mise en œuvre par l’Agence des services et systèmes d’information (ASSI) pour la généralisation du e-commerce au Bénin et présentée aux acteurs de la fintech.

Son but est de favoriser l’inclusion financière des couches de la population hors des circuits économique actuelle. La ministre béninoise de l’Economie Numérique et de la Digitalisation a donné des explications à ce sujet.

« La plateforme nationale de paiement électronique est une pièce maîtresse de notre stratégie numérique, qui va être le hub de concentration de toutes les solutions de paiements existantes, aujourd’hui et à venir aussi dans le futur, qui permettra de rendre ces solutions interopérables et par la même occasion, de remplir d’autres objectifs qui sont liés à l’inclusion financière, à la facilité de paiement et au suivi de ces paiements », a-t-elle déclaré.

Cette plateforme nationale de paiement électronique au Benin va faciliter l’inclusion financière. C’est une aubaine pour les populations en marge des circuits économiques actuels. Cette solution numérique va également favoriser la centralisation de tous les paiements des services financiers publics au Bénin. Cette innovation vient faciliter la dématérialisation des paiements de services au sein de l’administration, le paiement en ligne des services et contenus numériques et favoriser le développement de l’e-commerce.

Il s’agit d’un levier majeur de la digitalisation du Bénin et d’un pourvoyeur de croissance. En effet, la plateforme va contribuer à la diminution des coûts de transaction et à la mutualisation des services. En plus de favoriser l’inclusion financière, elle devrait booster l’e-paiement marchand, encore au second rang dans le pays.

Bebuzee
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Bebuzee, le réseau social nigérian qui gagne du terrain

Créé en 2012 par le Nigérian Joseph Onyero, Bebuzee compte concurrencer les grands réseaux sociaux du monde. Pour ce faire, le réseau social opte pour une variété de produits. Il opère des changements afin de proposer un mix de « YouTube et Facebook » à ses utilisateurs.

Bebuzee a plus de 16 millions d’utilisateurs et c’est dans l’avantage de ceux-ci que les développeurs refondent la plateforme. Le réseau social de Joseph Onyero veut offrir plus de contenus à travers toute l’Afrique.

En effet, Bebuzee proposait tout simplement à ses utilisateurs les fonctionnalités standard d’un réseau social. Notamment : l’ajout de photos et vidéos, écriture de blog. Le réseau social panafricain va plus loin et opte pour un service gratuit de contenu vidéo. Cette fonctionnalité propose des films, des documentaires, des séries et des talk shows purement africains.

Pour la faisabilité d’une telle refonte, la réseau social nigérian a noué des relations avec 50 producteurs nollywoodiens. Ils ont accordé une exclusivité temporaire à Bebuzee. La stratégie du média social mix a été un succès au Nigeria, en Afrique du Sud, en Ouganda et au Kenya. Une bonne raison qu’a l’innovateur nigérian Joseph Onyero de se réjouir et de viser plus loin.

« Notre vision est de devenir un fournisseur de premier plan de divertissement et d’informations sur le continent. Et servir les utilisateurs avec leur contenu préféré sans frais. Grâce aux vidéos produites par des professionnels, nous obtenons un public cible défini et une plateforme marketing. Nous étendons maintenant considérablement la capacité de nos serveurs. Car nous prévoyons d’ajouter du contenu spécifique à chaque pays pour accroître l’attractivité de nos offres », a déclaré le fondateur de la plateforme.

Fadji Maina
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La première scientifique Nigérienne à la NASA

Fadji Maina est une Nigérienne hydrologue de 29 ans. Elle est la première scientifique nigérienne à la NASA. Elle a obtenu son doctorat en 2016 et a rejoint la célèbre agence spatiale américaine.

De Zinder à Berkeley

Son parcours d’excellence démarre à Zinder. Après une scolarité brillante elle a sauté plusieurs classes. Elle obtient le baccalauréat à l’âge de 16 ans. « Ma famille m’a toujours soutenue dans mes études, insiste-t-elle. Depuis que je suis petite, tout mon entourage m’encourage. »

Elle a déclaré à l’émission Focus on Africa de la BBC qu’elle utilisera son nouveau travail pour contribuer au développement de son pays et à celui du continent. « Je leur dirai de continuer à avancer parce que tout le monde penserait que les Nigériens, ou une jeune femme du Niger, ne seraient pas capables de le faire. Mais croyez simplement en vous et trouvez un environnement qui vous soutiendra », a-t-elle déclarée.

Mme Maina a déclaré qu’elle était la seule Africaine à la Nasa :

« On s’y habitue aussi, je pense que nous avons besoin de plus de personnes venant de différents milieux pour pouvoir résoudre les problèmes sur lesquels nous travaillons – parce que des personnes différentes auront des perspectives différentes ».

Parallèlement, la jeune lycéenne de Zinder s’engage en politique. Élue députée junior au sein de l’Assemblée Nationale des jeunes du Niger, elle s’y fait l’avocate de l’éducation et de l’autonomisation des filles. Et si, à l’heure des études supérieures, elle choisit la filière hydrologie c’est « pour participer à l’améliorer des conditions d’accès à l’eau potable au Niger ».

Le Créateur de la marque Besi
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Besi, la marque d’un jeune entrepreneur togolais basé aux USA

La marque « Besi » est une découverte du jeune américain d’origine togolaise, Carlos Djalédjété. Cette marque prend de l’ampleur et gagne le cœur de plus d’un dans le monde. Besi est un trust (Sportwear & Streetwear) en train de gagner du terrain.

Installé il y a 7 ans dans le Maryland, à Washington DC, Carlos Djalédjété, le jeune entrepreneur de 39 ans, grignote le terrain des grandes marques.
Ce jeune, grâce à son talent, voit son entreprise prendre de la grandeur avec les différents produits qu’il développe. Il produit des sweat, jogging, casque bluetooth de sport, les casquettes, T-Shirt, et leggings. Le patron de « Besi » se projette dans un rêve américain pas si aisé.

« Mon objectif est d’abord d’essayer de ramener la qualité d’ici à un prix abordable à la population africaine… », a affirmé Carlos Djalédjété
Un objectif, qui pour le patron de Besi, s’illustre par ce rêve américain qu’il a hérité. Aussi il veut répondre aux multiples besoins de ses frères africains.

Des innovations basées sur la technologie

Le jeune entrepreneur voit les innovations d’aujourd’hui en ce qui concerne la technologie. En effet c’est un domaine de future, et le sport l’activité première de tout un chacun. Pour lui, s’investir dans ces domaines ne seraient pas une peine perdue. Selon lui tout le monde est appelé forcément à faire le sport.

« Faire le vestimentaire dans le domaine sportif serait un bon investissement… », précise-t-il avant d’ajouter que c’est à partir de cette idée qu’est parti l’ensemble de son entreprise. L’idée « Besi » est née du prénom du jeune entrepreneur (Besié Parc) qui veut de l’authenticité et l’originalité à sa marque. L’entreprise offre de la technologie en fabricant des écouteurs. De plus, elle se projette à embrasser presque tous les domaines de la technologie pour servir un monde plus large.

L’écouteur, avec un son impeccable, est un écouteur wealers bluetooth capable de recevoir des appels. La réception se fait avec une distance de réception de 10 mètres.
« Nous avons choisi d’abord les écouteurs pour entrer dans le marché avec le temps », a lancé le patron de Besi.

Ce jeune entrepreneur d’origine togolaise ne pense pas s’arrêter à un si bon chemin. Il projette plein de choses dans le domaine de la technologie. Bientôt il confectionnera des tenues sportives de tous domaines d’activités sportives. Il pense que la vision de Besi est grande et pour cela il compte réaliser son rêve.

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Un jeune Congolais conçoit un fer à repasser rechargeable

Un jeune congolais,de 23 ans du nom d’Elie Safari Baraka conçoit un fer à repasser d’une autonomie de 3 heures rechargeable. Une innovation qui vient résoudre une infime partie des problèmes les coupures d’électricité récurrentes.

Après huit mois de travail, le jeune congolais ingénieur en électronique est venu à dégager un bijou à la fois pratique et très utile. Conçu dans son propre atelier à Goma en RDC (République Démocratique du Congo) et commercialisé sous la marque Biron, Elie Safari Baraka affirme que son fer à repasser a 3 heures d’autonomie.

Les pièces utilisées sont importées d’Europe, des États-Unis et de l’Asie. Le jeune homme procède ensuite à l’assemblage pour obtenir la forme voulue. Dans son atelier, il se sert d’un équipement électronique basique pour fixer les différentes parties. Le fer rechargeable a pour fonction de permettre le repassage en cas de panne d’électricité.

Le fer à repasser rechargeable de ce génie a séduit tant de congolais comme l’a si bien exprimé une cliente sur le média Africanews : « La différence entre ce fer et celui qu’on utilise avec des braises, c’est le temps que l’on perd pour allumer du feu, en plus de salir les habits. Avec ce fer nous ne rencontrons aucun problème. Le fer électrique aussi est inutilisable  en cas de panne de courant. On doit arrêter de travailler, mais celui-ci fonctionnera, car je l’aurai chargé et je pourrai ainsi poursuivre mon repassage sans problème ».

Comme c’est le cas de nombreux jeunes entrepreneurs en Afrique, Elie Safari Baraka manque de moyens pour produire et perfectionner son fer à  repasser rechargeable. Pour ce fait, il demande le soutien financier du gouvernement congolais pour qu’il puisse poursuivre son travail.