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Tap Tap Send
Economie Réussite Technologies

Tap Tap Send, l’application mobile money à moindre coût

Avec la crise Covid-19, la Banque Mondiale prévoyait une baisse des transferts d’argent vers l’Afrique. Cependant ces transferts ont augmenté plutôt que de baisser. Dans certains pays africains, le transfert d’argent représente 40% des dépenses du quotidien, que ce soit pour les dépenses alimentaires, le logement, la santé ou l’éducation. L’argent de la diaspora est essentiel à la survie de certaines familles.

Ces dernières années, de nombreuses sociétés de transfert d’argent se sont créées. En 2018, après avoir constatés que les frais d’envoi d’argent de l’Europe vers l’Afrique sont élevés, des Africains ont décidé d’y remédier en se mettant en collaboration avec des partenaires d’argent mobile africains. C’est ainsi qu’ils ont créé Tap Tap Send, une application mobile de transfert d’argent.

Tap Tap Send vous permet d’envoyer de l’argent à vos proches à partir de votre carte débit vers les comptes mobile money en Afrique et en Asie.

Tap Tap Send permet à la diaspora africaine et asiatique d’envoyer de l’argent de l’Europe vers l’Afrique et l’Asie instantanément et à coût réduit.

Le transfert d’argent via le mobile money a rendu l’envoi d’argent plus facile et plus rapide. C’est pourquoi, Taptap Send s’est donné pour mission de vous faciliter l’accès aux ressources financières en vous assurant des transferts de fonds rapides et économiques.

Désormais, vous n’avez plus besoin de faire de longue file d’attente pour envoyer de l’argent à vos proches. Il vous suffit de télécharger l’application Tap Tap Send, de même que le destinataire, et ce dernier reçoit l’argent dans son compte mobile money instantanément.

Lors de vos envois avec Tap Tap Send, vous ne payez aucun frais d’envoi quelque soit le montant à envoyer, contrairement aux acteurs traditionnels. Tap Tap Send a pour objectif de réduire les coûts des envois de fonds transfrontaliers d’ici 2030, une réalité aujourd’hui.

Actuellement chez Tap Tap Send, vous pouvez envoyer de l’argent de l’Europe vers le Sénégal à seulement 2€ de frais fixes d’envoi et les frais de retraits sont totalement gratuits.

Tap Tap Send est disponible au Sénégal, au Mali, en Guinée, au Ghana, au Cameroun, en Côte d’Ivoire, au Kenya, à Madagascar, en Zambie, au Bangladesh, au Vietnam, en RD du Congo et au Maroc.

Profitez de l’offre de Tap Tap Send pour faire plaisir à vos proches !

Un agriculteur utilisant l'AgroPad
Agriculture Business Entreprenariat Made in Africa Réussite Technologies

Irrigation d’un champ via L’AgroPad de Erik Tiam

Les prévisions concernant les effets du changement climatique suggèrent que l’Afrique pourrait perdre 47% de ses revenus agricoles d’ici à l’an 2100, tandis que les plus optimistes prédisent une perte de 6% seulement.

En plus de l’abscence de main d’oeuvre, de nombreux agriculteurs font face au changement climatique. Ce qui a un impact considérable sur leurs revenus. En vue d’aider les agriculteurs à y remdier, le camerounais Erik Tiam a conçu un système d’irrigation solaire qui permet de fournir de l’eau et de l’engrais à partir d’un téléphone portable.

Après avoir constater que le potentiel agricole du Cameroun était sous- exploité, Erik Tiam a eu l’idée de créer un dispositif appelé l’AgroPad. Il en est le concepteur.

L’AgroPad est un système qui allie nouvelles technologies et énergie solaire pour permettre l’irrigation des exploitations agricoles à distance. L’Agropad a été crée par Global Initiative, une startup dans le domaine de l’agronomie.

Le changement climatique a un impact sur la hausse des prix des produits locaux sur le marché. Cette hausse des prix s’explique par de la baisse de la productivité des agriculteurs.

L’agriculteur peut mettre le dispositif d’irrigation en marche sans avoir à se déplacer, une fois qu’il installe l’application dans son téléphone portable.

L’objectif de l’AgroPad est de permettre aux agriculteurs de gagner en temps. Mais surtout d’augmenter leurs rendements et réduire l’impact du changement climatique. Il règle aussi le problème de main d’œuvre grâce aux nouvelles technologies.

Les capteurs donnent les renseignements en permanence à l’utilisateur, sur les besoins de son champ. En cas d’insuffisance, les canaux d’irrigations se mettent en marche et ravitaillent les plantes en eau et en engrais nécessaire. En plus de l’irrigation des champs, le système permet aussi le contrôle et la géolocalisation du bétail. Les batteries du système peuvent durer quatre jours selon le promoteur, même en absence du soleil, un avantage en saison pluvieuse!

L’Agropad est utilisé par de nombreux agriculteurs au Cameroun et Erik Tiam a reçu plusieurs reconnaissances grace à son invention.

Traduction
Made in Africa Technologies

Ces jeunes Africains traduisent du contenu vers les langues locales pour lutter contre le covid-19

Les mots « masque facial » et « désinfectant pour les mains » sont maintenant familiers dans le monde entier. Mais pour les locuteurs isiZulu en Afrique du Sud, ces termes n’existaient pas il y a un an, jusqu’à ce qu’un groupe de volontaires se soit tourné vers Internet pour les créer.

Des publications de Wikipédia en langues autochtones aux bibliothèques de mots numériques, les amateurs de langues africaines se connectent en ligne pour préserver et créer des mots et du contenu pour les générations futures. Un effort qui a été renforcé par la pandémie de coronavirus.

Démocratiser l’information

Les volontaires du programme WikiAfrica traduisent du contenu en ligne dans près de 20 langues africaines. Il s’agit du twi, le swahili, l’afrikaans et le dagbani, selon une porte-parole de la Fondation Moleskine.

Les articles traduits ont été consultés plus de 500 000 fois, affirme l’organisation à but non lucratif. La Fondation Moleskine se concentre sur des projets culturels et aide à former des traducteurs à travers le continent.

Au début de la pandémie, les responsables de l’organisation ont remarqué que la quantité de contenu sur le COVID-19 sur Wikipédia en langues africaines faisait défaut, a déclaré le directeur général et co-fondateur Adama Sanneh.

« Nous avons donc créé une campagne pour dire à tous les locuteurs de langue africaine : « Si vous connaissez la langue, veuillez traduire une partie de ce contenu de l’anglais ou du français ou du portugais », » il dit sur Zoom.

Une partie de WikiAfrica consiste à « démocratiser l’information », a déclaré Lwando Xaso, avocat et activiste de Constitution Hill Trust, une organisation de promotion de la constitution sud-africaine qui s’est associée au programme.

Accès libre

Partout dans le monde, divers efforts pour traduire des documents dans les langues maternelles africaines génèrent un contenu culturellement pertinent. Tout en aidant à garder les langues autochtones en vie.

Les Nations Unies au Nigéria ont créé un portail de désinformation COVID-19 qui répond aux questions fréquemment posées en yoruba, haoussa et igbo.

Et l’année dernière, 30 jeunes Africains se sont réunis pour traduire les directives de santé publique COVID-19 dans 18 des langues africaines les plus courantes.

Cela, après que le chercheur de l’Université de Cambridge, Ebele Mogo, se soit adressé aux médias sociaux pour demander une aide à la traduction.

Lorsque COVID-19 a été enregistré pour la première fois dans son pays d’origine, le Nigéria, Mogo s’inquiétait de la propagation de la désinformation, comme des astuces pour manger de l’ail ou prendre des bains chauds pour conjurer le virus, selon le site Web de son projet.

« Pour ceux qui ont peur de ne pas pouvoir se protéger eux-mêmes et leurs familles, il peut être trop facile de suivre les mauvais conseils », a-t-elle déclaré sur le site.

En dehors de la pandémie, depuis 2011 l’Université de Boston a constitué des référentiels de manuscrits d’Afrique de l’Ouest numérisés et menacés.

Ces initiatives sont inestimables, a déclaré Mahlatse Hlongwane, 24 ans, étudiante et volontaire WikiAfrica de la province sud-africaine de Limpopo, qui a déclaré avoir trouvé de nouveaux mots sesotho liés à la pandémie en écoutant la radio et en entendant de nouveaux termes utilisés de manière informelle.

Mais, a-t-elle ajouté, les gens ont besoin de plus de sites Web mobiles pour accéder au contenu de leurs téléphones mobiles, en particulier dans les zones rurales où les informations sont rares.

« J’aimerais que les gens sachent que les informations sont en ligne pour eux », a déclaré Hlongwane.

Révolution numérique
Société Technologies

Cyril Ramaphosa pour une révolution numérique inclusive

Selon Cyril Ramaphosa, Les Sud-Africains vivant dans les zones rurales doivent être inclus dans l’utilisation de la technologie numérique tout comme leurs homologues des centres urbains qui ont adopté la « révolution numérique »

M. Ramaphosa, dans un discours prononcé lors de l’ouverture de la Maison nationale des chefs traditionnels au Cap a déclaré que la Covid-19 a forcé le pays à s’appuyer sur la technologie pour communiquer sur la lutte contre la pandémie.

« Nous avons adopté de nouvelles méthodes de travail, de nouvelles façons de faire les choses (depuis la pandémie) », a déclaré le chef de l’Etat.

Il a ajouté que le pays a également adopté des processus technologiques « qui nous permettent de nous réunir de manière plutôt rentable, de continuer à faire le travail qui doit être fait ».

« Et c’est à cet égard que certains processus de relance économique comme la révolution numérique doit être axés sur les communautés rurales », a poursuivi Ramaphosa.

Le Président Sud-Africain a déploré le fait que le secteur privé ait tendance à se concentrer uniquement sur les zones urbaines.

Il appelle à un partenariat entre le gouvernement, les chefs traditionnels, le secteur privé, la société civile et les autres parties prenantes pour relever les défis auxquels le pays est confronté.

« Nous avons démontré au cours de l’année écoulée que, lorsque nous travaillons ensemble. Nous pouvons réaliser de grandes choses », a-t-il déclaré.

Source:Journaldebanqui.com

Un logiciel
Investissement Technologies

L’américain Infor veut stimuler sa croissance en Afrique

Infor est un éditeur de logiciel américain. Il commercialise des progiciels de gestion informatique, financière ou encore de ressources humaines. Infor envisage de stimuler davantage sa croissance sur le continent africain. La firme vient de nommer Amel Gardner au poste de vice-président et directeur général pour la région Moyen-Orient et Afrique. Amel Gardner cumule 20 ans d’expérience dans l’industrie de la technologie notamment en Afrique où elle a dirigé les activités régionales de plusieurs multinationales dont Epicor Software, Lenovo et Dell.

« Le Moyen-Orient et l’Afrique sont une région à forte croissance pour Infor et présentent un énorme potentiel de développement. L’objectif d’Amel et de son équipe sera de permettre aux clients d’exécuter avec succès des projets de transformation numérique et de bénéficier de gains de productivité améliorés grâce aux solutions Infor », a déclaré Joerg Jung, vice-président directeur d’Infor pour la région EMEA.

Depuis quelques années, le marché des services informatiques est en ébullition en Afrique. On constate d’importantes prises de position de la part d’entreprises étrangères. L’Afrique du Sud a pendant longtemps gardé une certaine longueur d’avance. En effet le pays a une croissance en glissement annuel de 11,4 % en 2019 sur le seul secteur des logiciels. Récemment, certains experts estiment l’Afrique de l’Ouest fortement prometteuse. Avec en tête un pays comme la Côte d’Ivoire, en raison de la dynamique d’investissements.

Facebook
Business Entreprenariat Made in Africa Technologies

« Dreamers & Doers » : l’histoire de six entrepreneurs africains ayant réussi grâce à Facebook

La majorité des entrepreneurs africains pour la réussite de leurs projets, passent par Facebook et ses plateformes filiales. C’est ce que veut démontrer le réseau social en lançant la série « Dreamers & Doers » sur Guardian TV. La série a pour mission de montrer l’impact de la plateforme sur les PME nigérianes et ghanéennes.

La série Dreamers & Doers qui est diffusée depuis le 11 novembre 2020 s’inscrit dans le cadre de la campagne #FBSuccessStory. La campagne met en exergue la manière dont les entrepreneurs en Afrique ont développé leurs activités en utilisant Facebook et ses filiales. La campagne met l’accent sur les PME du Nigeria et au Ghana.

Ainsi, sous forme d’une série spéciale « Dreamers & Doers » met en évidence six PME nigérianes et ghanéennes qui ont bénéficié des atouts de Facebook. Parmi tant d’autres, ces entrepreneurs ont connu une croissance en utilisant les plateformes et les offres de produits de la firme de Mark Zuckerberg. La série démontrera comment grâce au réseau social, ils ont pu surmonter les défis commerciaux, se connecter à leurs cibles et réussir sur leurs marchés.

Les six PME sélectionnées viennent du Nigéria et du Ghana. « Dreamers & Doers » parlera des Nigérians tels que Tricia Ikpowonba (@triciabiz), Samiah Oyekan-Ahmed (The Gift Source), Gina Ehikodi (geenafoodiesandspice) et Oluwatoyin Onigbanjo (@ Augustsecrets.ng). Au Ghana, Guardian TV mettra le projecteur sur Ameyaw Debrah et Christie Brown (@christiebrowngh).

Facebook veut démontrer par cette campagne à quel point, il est devenu un moteur clé de la croissance des entreprises ces dernières années. En effet, le réseau social est une niche pour les entrepreneurs qui deviennent assez fréquents sur ses plateformes.

Plateforme-de-paiement-au-Benin
Finance Réussite Technologies

Une plateforme de paiement électronique pour le Benin

Le Bénin vient de se doter de sa Plateforme Nationale de Paiement Electronique (PNPE). Elle a été mise en œuvre par l’Agence des services et systèmes d’information (ASSI) pour la généralisation du e-commerce au Bénin et présentée aux acteurs de la fintech.

Son but est de favoriser l’inclusion financière des couches de la population hors des circuits économique actuelle. La ministre béninoise de l’Economie Numérique et de la Digitalisation a donné des explications à ce sujet.

« La plateforme nationale de paiement électronique est une pièce maîtresse de notre stratégie numérique, qui va être le hub de concentration de toutes les solutions de paiements existantes, aujourd’hui et à venir aussi dans le futur, qui permettra de rendre ces solutions interopérables et par la même occasion, de remplir d’autres objectifs qui sont liés à l’inclusion financière, à la facilité de paiement et au suivi de ces paiements », a-t-elle déclaré.

Cette plateforme nationale de paiement électronique au Benin va faciliter l’inclusion financière. C’est une aubaine pour les populations en marge des circuits économiques actuels. Cette solution numérique va également favoriser la centralisation de tous les paiements des services financiers publics au Bénin. Cette innovation vient faciliter la dématérialisation des paiements de services au sein de l’administration, le paiement en ligne des services et contenus numériques et favoriser le développement de l’e-commerce.

Il s’agit d’un levier majeur de la digitalisation du Bénin et d’un pourvoyeur de croissance. En effet, la plateforme va contribuer à la diminution des coûts de transaction et à la mutualisation des services. En plus de favoriser l’inclusion financière, elle devrait booster l’e-paiement marchand, encore au second rang dans le pays.

foodretail
Agriculture Business Industrie Made in Africa Technologies

Evénement en ligne : Food & Retail West Africa 2020

Business Club Africa est un réseau d’affaire privé pour les cadres, manager, CEO et investisseurs ayant des activités en Afrique. En devenant membre, vous profitez de mises en relation et de services personnalisés et accédez en exclusivité aux appels d’offres et rencontres privées.

Business Club Africa organise un événement 100% digital le 3 décembre 2020 pour les acteurs de l’agroalimentaire. Il s’agit d’un événement incontournable où les décideurs de l’agroalimentaire et de la distribution en Afrique de l’Ouest se rencontrent. L’événement rassemble autant des pays Africains francophones qu’anglophones. C’est une opportunité pour les participants d’explorer le marché agroalimentaire, de promouvoir leur marque et même signer de nouveaux contrats.

Business Club Africa vous donne l’occasion de rencontrer les principaux acteurs de l’industrie alimentaire et développez votre activité en Afrique de l’Ouest !

L’événement en chiffres

L’événement accueillera:

  • plus de 300 participants
  • plus de 80 exposants
  • plus de 25 pays

venant d’entreprises nationales & internationales.

100% des participants sont des cadres dirigeants et supérieurs, qui opèrent dans la production agricole, la transformation agroalimentaire, ou dans la vente et la distribution.

Comment y participer ?

En tant que visiteur, vous aurez accès aux stands virtuels, aux sessions de réseautage et vous profiterez d’un an d’adhésion au Business Club Africa.

En tant que exposant, vous et 2 autres personnes de votre choix auront accès au pack visiteur + des conférences vidéos avec les participants, mise à disposition de contacts qualifiés et vous aurez votre propre stand virtuel.

Enfin en tant qu’exposant premium, vous profiterez en plus d’un plus grand stand virtuel, une grande visibilité dans l’entrée du hall de la conférence et apparaitrez dans la newsletter.

Pour participer vous pouvez dès maintenant vous inscrire et réserver votre stand.

Bebuzee
Business Made in Africa Réussite Technologies

Bebuzee, le réseau social nigérian qui gagne du terrain

Créé en 2012 par le Nigérian Joseph Onyero, Bebuzee compte concurrencer les grands réseaux sociaux du monde. Pour ce faire, le réseau social opte pour une variété de produits. Il opère des changements afin de proposer un mix de « YouTube et Facebook » à ses utilisateurs.

Bebuzee a plus de 16 millions d’utilisateurs et c’est dans l’avantage de ceux-ci que les développeurs refondent la plateforme. Le réseau social de Joseph Onyero veut offrir plus de contenus à travers toute l’Afrique.

En effet, Bebuzee proposait tout simplement à ses utilisateurs les fonctionnalités standard d’un réseau social. Notamment : l’ajout de photos et vidéos, écriture de blog. Le réseau social panafricain va plus loin et opte pour un service gratuit de contenu vidéo. Cette fonctionnalité propose des films, des documentaires, des séries et des talk shows purement africains.

Pour la faisabilité d’une telle refonte, la réseau social nigérian a noué des relations avec 50 producteurs nollywoodiens. Ils ont accordé une exclusivité temporaire à Bebuzee. La stratégie du média social mix a été un succès au Nigeria, en Afrique du Sud, en Ouganda et au Kenya. Une bonne raison qu’a l’innovateur nigérian Joseph Onyero de se réjouir et de viser plus loin.

« Notre vision est de devenir un fournisseur de premier plan de divertissement et d’informations sur le continent. Et servir les utilisateurs avec leur contenu préféré sans frais. Grâce aux vidéos produites par des professionnels, nous obtenons un public cible défini et une plateforme marketing. Nous étendons maintenant considérablement la capacité de nos serveurs. Car nous prévoyons d’ajouter du contenu spécifique à chaque pays pour accroître l’attractivité de nos offres », a déclaré le fondateur de la plateforme.

Fadji Maina
Made in Africa Réussite Technologies

La première scientifique Nigérienne à la NASA

Fadji Maina est une Nigérienne hydrologue de 29 ans. Elle est la première scientifique nigérienne à la NASA. Elle a obtenu son doctorat en 2016 et a rejoint la célèbre agence spatiale américaine.

De Zinder à Berkeley

Son parcours d’excellence démarre à Zinder. Après une scolarité brillante elle a sauté plusieurs classes. Elle obtient le baccalauréat à l’âge de 16 ans. « Ma famille m’a toujours soutenue dans mes études, insiste-t-elle. Depuis que je suis petite, tout mon entourage m’encourage. »

Elle a déclaré à l’émission Focus on Africa de la BBC qu’elle utilisera son nouveau travail pour contribuer au développement de son pays et à celui du continent. « Je leur dirai de continuer à avancer parce que tout le monde penserait que les Nigériens, ou une jeune femme du Niger, ne seraient pas capables de le faire. Mais croyez simplement en vous et trouvez un environnement qui vous soutiendra », a-t-elle déclarée.

Mme Maina a déclaré qu’elle était la seule Africaine à la Nasa :

« On s’y habitue aussi, je pense que nous avons besoin de plus de personnes venant de différents milieux pour pouvoir résoudre les problèmes sur lesquels nous travaillons – parce que des personnes différentes auront des perspectives différentes ».

Parallèlement, la jeune lycéenne de Zinder s’engage en politique. Élue députée junior au sein de l’Assemblée Nationale des jeunes du Niger, elle s’y fait l’avocate de l’éducation et de l’autonomisation des filles. Et si, à l’heure des études supérieures, elle choisit la filière hydrologie c’est « pour participer à l’améliorer des conditions d’accès à l’eau potable au Niger ».